Archives pour la catégorie 2012 Présidentielles

Les entrepreneurs avec François Hollande

Elles et ils sont chefs d'entreprise, dirigeant(e)s, on les classerait plutôt « à droite », et pourtant ils sont de plus en plus nombreux à soutenir François Hollande.

 

Leurs valeurs ? L'économie de marché, la saine concurrence et la performance économique, mais aussi et surtout la justice sociale, l'équité dans le management et dans la redistribution des richesses créées, l'économie coopérative et solidaire, la confiance dans l'être humain et dans l'intelligence collective.

 

Leurs activités ont immanquablement souffert de la crise économique depuis 2008 mais ils ont tenu et gardé espoir. Car cette crise est avant tout celle d’un système néolibéral qui pendant des années s’est bercé d’illusions, a laissé les actionnaires des grandes entreprises s'enrichir au détriment des salariés et des sous-traitants, a regardé les banques spéculer au lieu de financer l'économie réelle.

 

Le laxisme ou la complicité des dirigeants politiques face à ces dérives ne doit en rien décourager celles et ceux qui pensent que l'action politique a encore un sens. Le décalage entre le discours et les actes ou le laisser-faire de Sarkozy, la concurrence mondiale, la pression permanente à la baisse des prix, le chantage aux bas salaires et aux délocalisations, les subventions et dispositifs fiscaux tels le Crédit Impôt Recherche dont profitent principalement les groupes du CAC 40 : autant de situations qui ne sont plus tolérables et qui doivent nous amener à refuser le statu quo.

 

Le contrôle du système financier, l’innovation et la mutation écologique, la revitalisation de notre industrie, sont des leviers essentiels  pour transformer le monde du commerce et de l’entreprise.

 

Il s'agit pour les entreprises européennes de pouvoir de commercer à armes égales avec leurs concurrents asiatiques, indiens ou américains, et de pouvoir fabriquer à proximité des lieux de consommation de leurs produits. Les orientations permises par le projet de François Hollande en matière de régulation, d'investissement, de fiscalité ou de partage des richesses, transformeront le contexte dans lequel évolueront les entreprises, et redonneront aux dirigeants des marges de man?uvre pour relancer l'économie.

 

15 des 60 engagements de François Hollande concernent directement le monde du travail et de l'entreprise, et sont de nature à permettre à la France de retrouver le chemin de l'emploi et de la croissance. Découvrez les ici et sur www.françoishollande.fr

 

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Communiqué de S Royal suite à visite du candidat Sarkozy chez Alstom

Voici le communiqué que Ségolène Royal a fait à l'occasion de la visite – mise en scène de Nicolas Sarkozy dans sa région, près de La Rochelle. La France qui souffre des promesses non tenues de Nicolas Sarkozy Le candidat Sarkozy s’est rendu à Alstom, là où, tout va bien, notamment grâce aux commandes de trains des Régions. Il devrait retourner là où la France souffre de ses promesses non tenues. Ségolène Royal a donné dans une PME innovante de La Rochelle, des exemples de promesses non tenues et s’est entretenue par téléphone avec Edouard Martin, délégué syndical d’ArcellorMittal dont l’usine de Florange est menacée de fermeture. Exemple 1 ? Entreprise New Fabris (Chatellerault) – « 400 emplois promis ». Résultat : L’entreprise a fermé. Exemple 2 – Fonderies du Poitou Alu (Ingrandes) – « Des commandes de Renault et annoncées par Besson sont toujours attendues ». Entreprise en très grande difficulté. Exemple 3 ? Aubade (Saint Savin) – Entreprise de lingerie délocalisée. Exemple 4 – Tempête Xynthia – Mars 2010 – Sarkozy promet sur place 3 500 kilomètres de digues neuves en France et 150 kilomètres de digues en Région. On en est très loin. Exemple 5 – Dégâts sur le PME du secteur photovoltaïque ? 800 000 logements mal isolés rénovés promis lors du Grenelle. Bilan : 100 000. Mars 2011 : faillite des entreprises photovoltaïques suite à la baisse des prix. Exemple 6 ? Heuliez (Cerizay) ? La promesse de participation au capital de 10 millions d’euros par la FSI n’a pas été tenue. C’est la Région qui l’a fait. Exemple 7 – Crédits aux PME : promesses du 20 octobre 2008 non tenues. Exemple 8 ? Entreprise CAMIF (Niort) ? Chatel promet sur place le reclassement de 70 % des 600 salariés. Résultat 17 % seulement ont retrouvé un emploi. Exemple 9 ? Visite en Charentes le 9 juin 2011 avec les agriculteurs. Trois annonces face à la sécheresse : · SNCF et armée pour le transport du fourrage, · 200 millions d’euros de prêts, · réduction de l’irrigation sur 14 000 hectares. Aucune n’a été tenue. La détresse des éleveurs a seulement a été mise en scène. Exemple 10 – « ALSTOM doit aussi beaucoup aux commandes de train passé par les Régions ». 166 trains commandés le 27 octobre 2009 et payés par les Régions représentant 900 emplois chez Alstom et ses sous-traitants. Conclusion : le candidat Sarkozy devrait avoir le courage d’aller aussi à Gandrange et Florange. Trois ouvriers – Édouard Martin (ArcellorMittal, CFDT) en duplex par téléphone depuis Gandrange, Dominique Duval (NewFabris, FO) et Jean-Luc Huet (Fonderies du Poitou Alu, CGT) – se sont exprimés pendant la conférence de presse. Ce qui a contraint le candidat Sarkozy a répondre « qu’il allait s’occuper de Florange » ! Avec mépris et en s’énervant, le candidat Sarkozy a dit aux salaries d’Alstom que « la dame de la région ne voulait pas que je vienne vous voir » ! Rien n’est plus faux. Ségolène Royal a dit que c’était facile d’aller là où ça va bien grâce aux régions qui ont commandé 160 trains mais pas courageux de ne pas aller à Gandrange, Newfabris, Fonderies du Poitou etc. Là où ses promesses non tenues ont fait beaucoup de dégâts. Voilà la vérité.

Les cinq erreurs du nouveau tract de l'UMP

Il est donc temps de donner les réponses de notre «jeu des cinq erreurs» sur le nouvel argumentaire de campagne UMP. Merci aux 753642 personnes (selon les organisateurs) – 11 selon le compteur du site – qui ont participé. Les cinq intox que nous avons dénichées sont décryptées sous le tract.

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1) Le tableau de la dette

En voilà un beau tableau! Qui montre que la dette française a progressé entre deux et trois fois moins que les dettes de l'Espagne, du Royaume-Uni et des Etats-Unis.  On avait déjà désintoxiqué ces chiffres sorti de la bouche de Nicolas Sarkozy. Car cette présentation est parfaitement malhonnête.  Selon les données d'Eurostat, la dette française est passée, entre 2007 et 2010, de 64,2% du PIB à 82,3%. Dans le même temps, celle de l'Espagne grimpait de 36,2% du PIB à 61%, celle du Royaume-Uni de 44,4% à 79,9%, et celle des Etats-Unis (source FMI), de 62% à 91,5%.

La «finesse»  (si l'on peut dire) de l'UMP est, comme l'ont relevé certains commentateurs, de se baser  sur une évolution en pourcentage à partir du niveau de la dette en 2007 en points de PIB. A ce compte, la dette française a progressé en quatre ans (jusqu'à 2010) de 28% (de 64 à 82), la dette espagnole de 68%, la dette du Royaume-Uni de 80% et celle des Etats-Unis de 50%…

Il en résulte pourtant une comparaison certes spectaculaire mais parfaitement trompeuse: l'évolution en pourcentage est d'autant plus élevée que le point de départ est bas. Ainsi, en appliquant la «méthode UMP», la dette du Luxembourg (qui a progressé sur la période de 12,4 points, de 6,7% à 19,1%) a évolué de près de 180%. Absurde.

Si l'on en reste à la seule comparaison pertinente -l'évolution de la dette en point de PIB-, la France a vu, entre 2007 et 2010, sa dette progresser de 18,1 points de PIB, contre 24,8 points pour l'Espagne, 29 pour les Etats-Unis, et 35,5 points pour le Royaume-Uni. C'est moins impressionnant. Ajoutons que la croissance de la dette française est, toujours entre 2007 et 2010, supérieure à celle de l'Italie (+15,3 points de PIB, de 103,1% à 118,4%), comparable à celle de l'Allemagne (+18 points, de 65,2% à 83,2%) et surtout à la moyenne de la zone euro (+18,9 points, de 66,3% à 85,4%). 

Conclusion : la France a alourdi la charge de sa dette dans la moyenne européenne.

2) L'explosion du pouvoir d'achat des fonctionnaires

Une hausse de 10% du pouvoir d'achat des fonctionnaires? L'argument est récurrent dans les discours de la majorité. Nous l'avions déjà repéré (et désintoxiqué) ici. Là encore, la présentation est trompeuse, bien aidée il faut le dire par l'extrême technicité du débat.

L'UMP (comme tous les responsables de la majorité sur le sujet) utilise l'indicateur le plus favorable pour mesurer la progression du pouvoir d'achat : la rémunération moyenne des personnes en place (RMPP) qui, corrigée de l'inflation, a donc augmenté de plus de 10% depuis 2006. La RMPP permet de suivre l'augmentation moyenne de la fiche de paie des mêmes agents d'une année sur l'autre. Elle augmente mécaniquement pour cause de vieillissement de la population, qui bénéficie d'évolutions de carrière (progression automatique dans les échelons, promotions). Parce qu'il ne considère que les agents qui restent en poste, cet indicateur ne tient pas compte du fait que les fonctionnaires qui partent en retraite, mieux payés en raison de leur ancienneté, sont remplacés par des jeunes en début de carrière, aux rémunérations plus basses.

Cet effet d'«entrées-sorties» est en revanche pris en compte par un autre indicateur, le SMPT (salaire moyen par tête), qui évolue donc moins vite que la RMPP. Le SMPT correspond au revenu moyen d'un agent à temps plein. Corrigé de l'inflation, il est comparable, dans sa définition, au pouvoir d'achat par personne en France. Mais les données le concernant ne sont pas disponibles après 2008. On peut toutefois remarquer que le pouvoir d'achat correspondant à la RMPP a augmenté de 25% entre 1998 et 2008, quand celui associé au SMPT a progressé de 7% dans le même temps. Un chiffre faible par rapport à la hausse du pouvoir d'achat par personne pour l'ensemble de la population (20%).

Le SMPT renferme par ailleurs un biais lié à un effet de structure : une partie des emplois peu qualifiés, à salaire faible, a été transférée vers les collectivités territoriales, ce qui a relevé artificiellement le salaire moyen dans la fonction publique d'Etat. En 2008, l'augmentation du SMPT a ainsi été de 0,5% en euros constants. Mais en excluant du calcul les 47 000 agents transférés, c'est une baisse de 0,5% qui a été constatée cette année-là. En corrigeant ce type de phénomène, on observe alors une stagnation du pouvoir d'achat entre 1998 et 2008, et depuis 2007. Loin des 10% avancés par le gouvernement, mais aussi de la forte baisse annoncée par les syndicats.

3) La revalorisation des allocations familiales en fonction de l’inflation entre 2007 et 2010

De l'art de présenter comme une mesure favorable… une mesure qui a en réalité pénalisé les familles. Le citoyen lambda tombant sur ce tract penserait que le gouvernement a préservé le pouvoir d'achat des Français en décidant d'indexer les allocations familiales sur l'inflation… Sauf que cette indexation, loin d'avoir été mise en place depuis 2007, a toujours existée… jusqu'à cette année. Le bilan de la majorité en la matière, c'est au contraire d'y avoir mis un terme, en novembre dernier. Les allocations sont désormais indexées «de 1% de manière forfaitaire, c'est-à-dire le niveau de la croissance prévue». Moins que l'inflation. Pour une économie globale de 0,4 milliard d'euros en 2012 et 0,5 en 2013.

4) Le pouvoir d'achat des Français maintenu alors qu'il baisse chez nos voisins…

Les comparaisons en matière de pouvoir d’achat sont complexes.  Il arrive au gouvernement (Frédéric Lefebvre l’avait fait, et cela lui avait valu un Désintox) de renvoyer à cet indicateur de la Commission européenne comparant les pouvoirs d'achat brut des ménages et du secteur associatif (taper 15, puis 15.3, puis real gross disposable income), qui montre que le pouvoir d’achat de la France a progressé davantage que la moyenne européenne entre 2007 et 2011… mais également moins que dans certains pays (Suède, Danemark, Pologne…)

Rappellons au passage que cette statistique est un indicateur macroéconomique mais pas une mesure de l'évolution moyenne du pouvoir d’achat des ménages.  En effet, n'est pas prise en compte l'évolution du nombre des ménages.

Ce qui nous renvoie d'ailleurs à la mauvaise habitude de la majorité en la matière, qui se borne systématiquement à communiquer sur le pouvoir d’achat du revenu disponible brut (deuxième ligne), c'est-à-dire l'ensemble des revenus disponibles, sans tenir compte de la dynamique démographique.

Mais si l'on tient compte de l’augmentation du nombre de ménages  (le gâteau grossit mais les Français sont plus nombreux à se le partager), on constate que, par personne (ligne 3), par ménage (ligne 4), ou par unité de consommation (ligne 5), le pouvoir d'achat a stagné, voire baissé (en 2008 notamment, ou en 2010 si on se fie au pouvoir d'achat par ménage).

Ajoutons que les perspectives en la matière ne sont pas réjouissantes. L'Insee prévoyant dans sa dernière note de conjoncture (p.79) une baisse du pouvoir d'achat au premier semestre 2012.

5) Les 500 000 emplois préservés grâce au chômage partiel

Le chiffre est rond mais ne veut strictement rien dire.  On estime (la DARES, dans cette étude) qu'au plus fort de la crise, environ 672 000 salariés ont été concernés sur une année (en 2009) par le chômage partiel. Mais établir une quasi équivalence -au doigt mouillé-  entre le nombre de salariés concernés et le nombre d'emplois préservés est une idiotie. Qu'une entreprise place ses salariés au chômage partiel n'implique pas qu'elle les aurait tous licenciés sinon. Le principe du chômage partiel est de faire partager la baisse de charge à l’ensemble des salariés… pour ne pas avoir à en mettre quelques uns dehors. Exemple chez Renault, où en 2009, plus de «30 000 salariés avaient connu au moins un jour de chômage partiel», avançait alors la direction. Soit les trois quarts des effectifs Renault SAS en France. Si l'on suit le raisonnement de l’UMP, le constructeur a donc sauvé 30000 emplois. Il n'en est rien. Renault estimait à l’époque que l'ensemble des mesures prises en 2009 pour réduire de 20% la masse salariale (chômage partiel, mais aussi modération salariale et plan de départs volontaires) avaient permis de sauver 8000 emplois. 

En 2009, Laurent Wauquiez, alors secrétaire d’Etat à l'Emploi et déjà habitué de la rubrique Désintox, avait tenté la même entourloupe, affirmant que les 350000 salariés concernés par l'activité partielle avaient été sauvés par le gouvernement.

G.La. et C.Mt

Avec François Hollande

par Gérard Filoche

On a en face de nous des médias extraordinairement puissants et quasi totalitaires : Bouygues, Lagardère, Arnaud, Pinault, Dassault, Rothschild? Ils sont totalement au service de Sarkozy ainsi que le CAC 40, le Medef et la rente de ce pays. Tous les possédants sont arqueboutés derrière le candidat sortant de la droite, fut-il le pire président de la Ve république. Ils ont un sens de classe aigu pour défendre leurs banques, leurs patrimoines, leurs fortunes accumulées quand bien même elles seraient excessivement concentrées et voyantes.

Ils ont dégagé le pseudo « centre » à leur manière : exit Borloo, ridiculisé Morin, minorisé Villepin, tout pour faire une place en or à Bayrou avec lequel ils ont un accord secret de désistement pour le second tour. Bayrou est sur certains points plus à droite que Sarkozy, il n'a pas réussi en 5 ans, depuis 2007, à dépasser le stade de chefaillon groupusculaire, mais vous remarquerez, il est traité comme un dieu par la grande presse.

Marine Le Pen, « amène le pire » est également traitée comme une reine, ils font sa promotion à loisir, la gonfle, la dégonfle au gré de leurs besoins. Une future alliée de Sarkozy qui n'hésitera pas demain à la prendre dans son gouvernement dés qu'il en aura besoin pour sa majorité.

Et ils cognent, ils cognent, cognent sur un seul homme : François Hollande. Ils vont le trouver, trop mou, trop dur, trop hésitant, trop ceci, trop cela. Tout va y passer, sa prétendue « mollesse », son incompétence, son absence d'engagement à gauche, méfiez vous, car ils vont tout utiliser à commencer par la division, la ranc?ur parfois à gauche de ceux qui sont aveugles devant le danger énorme qui nous guette. L'arme préférée des trolls UMP sur Internet c'est la « critique de gauche » de Hollande pour mieux expliquer que ça ne sert à rien de voter, que ça ne change rien afin de nourrir l'abstention qui ferait le jeu de Sarkozy.

Il paraît même qu'il ne faut « pas être antisarkoyste primaire », que  « ça ne sert à rien de le battre » si on n'a pas un programme ? idéal ! ? à la place? Le JDD journal archi à droite affirme déjà que « l'écart se resserre » et que Sarkozy remonte. C'était prévu dans leurs plans : ils testent ! En dépit de l'impopularité, de la haine légitime que suscite Sarkozy.

Alors : que nul ne flanche ! Unité !  Battre cette politique pourrie de Sarkozy est vital, essentiel pour le pays, pour les salariés, pour l'avenir. La réélection de Sarkozy serait le pire qui puisse arriver : un « quitus » à sa sale politique sur les 5 ans passés et encore 5 ans de mal, réduiraient tout ce qu'il y a encore de beau dans notre pays : la sécu, l'école publique, les services publics, les 35 h, ce qui reste de retraite, il ratiboisera tout. Soyons en conscient quand il est temps. Et développons cette conscience de classe le plus hardiment possible autour de vous.

On ne joue pas. Ou plutôt on joue l'histoire ce pays. Tout pour François Hollande, tout avec François Hollande. Tout pour soutenir, protéger, encourager, défendre, pousser en avant le SEUL candidat en position de sauver la gauche, de gagner les 22 avril et 6 mai. Sans hésitation, sans état d'âme. Seule sa victoire CONTRE Sarkozy ouvrira une voie aux luttes sociales, une dynamique qui ira plus loin que tous les programmes les plus beaux ? qui sinon, resteront dans les placards.

J’approuve Ce Message : Arnaud Montebourg : "Je Voterai Pour Hollande".

Chers amis,

 

Vous avez certainement vu la dépêche ou lu lemonde.fr Arnaud Montebourg : « Je voterai pour Hollande ».

 

Arnaud y indique les raisons de son choix et ne donne pas de consigne de vote. Il ne nous revient donc pas d’en donner.

 

Chacun est libre de son choix Dimanche prochain, libre également de le communiquer ou non. En ce qui me concerne sachez que je voterai Hollande, décision que j’avais prise dans la semaine et communiquée sur twitter ainsi qu’en réunion de section hier soir, au cas où la question du suivisme serait posée.

 

Le seul point sur lequel je me permets d’attirer votre attention est celui d’une absention ou d’un vote blanc/nul qui se voudrait significatif. A mon avis il sera exploité par l’UMP et par ses perroquets comme un vote de défiance envers le/la futur(e) candidat(e), comme un signe de fracture du PS ou des soutiens d’Arnaud, et de ce fait nous renforcera en rien.

 

Il importe que nous soyons nombreux à voter Dimanche, quel que soit « l’impétrant » choisi, pour enforcer le message de détermination donné lors du premier tour, pour continuer à sonner le glas du sarkozysme, et redonner espoir à tous nos concitoyens.

 

Les rêves passent mais se renouvellent, les idées grandissent et s’affirment, nos combats continuent sans relâche.

 

Amitiés

Vincent

DIDR Des Ideées et des Rêves

92 Hauts-de-Seine

DSK – appel aux sympathisants et aux militants

Cette affaire DSK nous sidère. Plus que jamais, et indépendamment d’éventuels engagements personnels lors des primaires, nous nous devons en tant que sympathisants ou militants socialistes de :

1/ Penser à l’homme, affirmer et respecter sa présomption d’innocence. Il traverse une épreuve terrible qui sans doute va durer des mois.

2/ Nous abstenir de tout commentaire ou propos désobligeant, question insidieuse ou attaque personnelle envers les candidat(e)s PS et envers leurs soutiens.

3/ Nous engager à faire campagne en 2012 pour celle ou celui qui la gagnera.