Meilleurs voeux pour 2016

Chers concitoyennes, chers concitoyens, chers amies, chers amis, cher(e)s camarades,

Tournons vite la page de cette année 2015, meurtrie par ces attentats qui ont brisé tant de vies et qui nous ont marqués à jamais. Nos pensées accompagneront longtemps les victimes et leurs proches.

Que souhaiter pour 2016 ?

Et d’abord, à qui présenter des vœux ? À tous ou à chacun ? Dans un monde où l’égocentrisme règne sans partage, la question serait fondée, mais nous n’allons pas y consacrer le réveillon…

Que 2016 soit plus pacifique que 2015, c’est le moins qu’on puisse en attendre.

Bonheur et santé dans sa vie privée, épanouissement dans sa vie sociale, c’est ce que je souhaite … à tous et à toutes, à chacune et à chacun !

Pour notre ville de Boulogne-Billancourt je formule quatre vœux :

  • Que les projets de l’Ile Seguin débouchent enfin sur des réalisations pérennes,
  • Que zones piétonnes et pistes cyclables viennent agrémenter notre cadre de vie,
  • Que les entrepreneurs y trouvent des lieux de travail à la mesure de leur dynamisme,
  • Que les associations puissent continuer leur œuvre notamment aux côtés des plus démunis, malgré un contexte budgétaire difficile.

Au sein de notre groupe La Ville Citoyenne, je ferai tout mon possible pour que ces vœux se concrétisent.

Au-delà, qu’il s’agisse de sujets locaux ou nationaux, que cette nouvelle année soit l’occasion de rencontres, d’échanges et de débats, toujours enrichissants, et nous permette de contribuer à construire petit à petit une société meilleure.

Pour cela, l’action politique nationale doit énormément regagner en efficacité et en crédibilité, en témoignent les forts taux d’abstention et les votes extrêmes que nous observons depuis plusieurs années.

Le chômage perdure, celui des jeunes, des seniors, des parents célibataires, ici comme ailleurs. Les affaires politico-financières minent notre pays. Nos institutions à bout de souffle laissent s’installer la confusion au plus haut sommet de l’État. Les technocrates, les politiciens professionnels ont atteint leurs limites. Les Français en ont assez.

Les statuts du Parti Socialiste prévoient qu’une primaire se tienne en 2016 pour désigner un(e) candidat(e) à l’élection présidentielle de 2017. Exigeons qu’elle soit organisée.

Seul un engagement massif des citoyens, de la société civile, dans les partis, les syndicats, les associations, les collectifs, peut créer les conditions de ce changement auquel nous aspirons.

Avec détermination et enthousiasme, renforçons nos engagements dans l’action citoyenne, encourageons nos proches à s’y investir. Plongeons dans l’année nouvelle, en mémoire de tous les #Charlie, de tous les #Bataclan et pour l’avenir de tous les autres !

Vive Boulogne-Billancourt, Vive la République, Vive la Démocratie, Vive 2016 !

Avec encore tous mes meilleurs voeux.

Bien amicalement,

Vincent Guibert

 

Le nabot la truie et les éléphants (anti-conte de Noël)

 

Dans une riche banlieue un nabot aux dents longues

Prit une mairie d’assaut pour mieux sortir de l’ombre

En face sur le coteau un porc deséborgné

Décida que sa fille devrait lui succéder

 

Le nabot agité de mamie en campagne

Planqué dans un buisson dominé par sa hargne

Arriva au sommet puis s’en fit éjecter

Feignant ne rien savoir de ses comptes explosés

 

La truie décolorée de radio en télé

Vomissant des âneries pour gens désespérés

Finit par laisser croire qu’elle pourrait les sauver

Tout en prenant bien soin de son magot planqué

 

Le nabot s’en revint tout petit cheffaillon

Et reprit les commandes d’un gang aux big millions

La truie n’en pouvant plus le dévora tout cru

Pendant que les voisins comme s’ils n’avaient rien vu

 

Croyant tout enrober de discours au Bourget

Continuaient à penser que tout allait changer

Que de vieux éléphants pourraient tout arranger

Que les belles promesses on pouvait oublier

 

Que réduire leur impôt aux patrons complairait

Qu’ôter leur nationalité les salauds effraierait

Et qu’il leur suffirait d’un grand rassemblement

Pour à nouveau berner ces hordes de pauvres gens

 

Jamais la truie ne put le nabot digérer

Jamais les pachydermes ne purent ressusciter

Le peuple décida d’aucun ne voulut plus

Pour message passer aux urnes ne vint plus

 

Le roi des éléphants meurtri par une année

D’ignobles barbaries de tant de vies brisées

Ce digne Président lui sympa lui brillant

Que l’on avait porté dont on espérait tant

 

Ne voyant pas comment dans bientôt deux printemps

Il pourrait de nouveau être dans l’air du temps

S’en vint à la veillée annoncer aux Français

Qu’il avait renoncé à se représenter.

 

Toute ressemblance avec des personnages ou des faits existant ou ayant existé serait purement fortuite – Aucune dinde n’a été maltraitée durant la confection de ce conte…

 

 

Au moins 250 000 emplois nouveaux possibles en octroyant un abattement immédiat de cotisations ASSEDIC pour l’embauche de chômeurs seniors longue durée dans des emplois d’investissement en TPE, PME ou ETI

Proposition : Octroyer un abattement immédiat de cotisations ASSEDIC pour l’embauche de chômeurs seniors longue durée dans des emplois d’investissement en TPE, PME ou ETI

 

Il s’agit de mobiliser la trésorerie des PME et ETI en priorité vers le financement de nouveaux emplois réservés à des seniors chômeurs de longue durée. Pour toute embauche en CDI affecté à un emploi d’investissement (contribuant au développement économique de l’entreprise et créateur à terme d’emplois de production), ne relevant pas du CIR/CII, d’un chômeur de plus de 6 mois âgé de 45 ans ou plus, alors l’entreprise bénéficie pendant 18 mois d’un abattement applicable à la totalité des cotisations Assedic, et égal à la masse salariale des emplois créés.

Cette mesure permet la création potentielle immédiate de 250 000 emplois dans les PME et ETI et bien plus si les TPE jouent également le jeu.

Préambule

Très schématiquement on peut distinguer 3 facteurs de création d’emploi :

  • Substitution: Il s’agit de pourvoir à un emploi devenu vacant suite au départ, volontaire ou non, d’un collaborateur.  Ce remplacement peut être direct, poste pour poste, ou indirect, le poste vacant étant pourvu par promotion interne créant en cascade un emploi moins qualifié.
  • Production: il s’agit d’emplois créés pour satisfaire directement les exigences de la production ou de son support. En réponse à un accroissement de l’activité ou à une nécessité réglementaire, ce sont des emplois permanents ou saisonniers, directement productifs (opérateurs de centre d’appels, ouvriers, vendeurs, logisticiens, serveurs) ou des emplois en support de la production : administration des ventes, ressources humaines, services financiers et administratifs, maîtrise, supervision, management de proximité…
  • Investissement: Au-delà des ingénieurs et techniciens affectés à la R&D et relevant du CIR/CII, il s’agit d’emplois destinés à améliorer la performance et la compétitivité de l’entreprise à moyen terme : analystes marketing, chefs de produits, commerciaux, qualiticiens, experts en nouvelles technologies, en développement durable, en RSE (Responsabilité Sociétale de l’Entreprise), chefs de projets …

Dispositif :

Dans un premier temps l’entreprise doit formaliser même succinctement sa stratégie de développement, son projet à moyen/long terme et la raison d’être des emplois d’investissement qu’elle entend créer : marchés nouveaux à conquérir, offres à développer, transformation numérique, évolutions du business model, réorganisation, compétences à acquérir, facteurs clés de succès à privilégier etc. Cela peut tenir sur quelques pages complétées par un business plan sur 3 ans, même pour une TPE.

Cette stratégie, présentée aux IRP, doit faire apparaître un plan de recrutement « d’emplois d’investissement » assortis d’objectifs chiffrés montrant un accroissement de chiffre d’affaires ou de productivité, portant sur des besoins en ressources nécessaires aux projets de développement figurant dans le plan stratégique, telles que commerciaux (France et/ou Export), chefs de projets, etc.

Pourquoi limiter la mesure à certains emplois ?

Il convient d’éviter tout effet d’aubaine qui subventionnerait un emploi de production ou de substitution qui serait créé quoiqu’il advienne. Il faut également se prémunir de tout contournement qui consisterait par exemple à licencier / réembaucher un salarié existant pour bénéficier de l’exonération.

Il n’est pas question de contraindre les entreprises à embaucher. C’est à elles de faire le premier pas. Il convient en revanche de les y inciter, de reconnaître le risque pris et en échange, de leur procurer un allègement de charges. L’idée est donc de mobiliser la trésorerie des entreprises en priorité vers le financement d’emplois d’investissement en lieu et place de tout ou partie des cotisations Pôle Emploi.

Il s’agit de reconnaître, récompenser, encourager, anticiper et faciliter la prise de risque entrepreneurial lié à l’innovation et au développement sous toutes ses formes.

Le CIR et le CII répondent en partie à cette exigence, mais ne concernent que les innovations technologiques. Études Marketing (France ou Export) ou plus généralement sujets non technologiques, conquête de nouveaux marchés, intégration du numérique, lancements commerciaux, capitalisation des connaissances, projets de « changement » ou de « réorganisation » contribuant à la compétitivité, accompagnement par le management, appointements d’experts non technologiques, de chefs de projets ou de managers transverses sur des questions de support QSE, RSE, d’accompagnement à la certification ISO etc. sont autant d’efforts qui n’entrent pas dans le champ du CIR et du CII. Par exemple, seul du temps « ingénieur » est reconnu par le CIR, pas celui d’un analyste marketing ou d’un chef de produits sortant d’une école de commerce.

Dans une moindre mesure, il s’agirait également d’encourager la préservation d’emplois, à savoir de différer ou d’amortir leur ajustement conjoncturel en cas de baisse d’activité. La modération salariale prévue dans la loi Sapin du 14 juin 2013 répond pour partie à cette exigence.

Il ne s’agit pas non plus, comme le laissent entendre certaines déclarations du MEDEF, d’embaucher des ouvriers ou des agents de service à se tourner les pouces en attendant que les commandes ou les clients arrivent. Il s’agit de faciliter des recrutements visant à générer de nouveaux contrats et donc de futures embauches.

Les mesures incitatives doivent donc être focalisées les d’emplois d’investissement, les plus risqués.

Modalités de mise en œuvre :

La stratégie de l’entreprise et son plan de recrutement sont présentés aux partenaires sociaux puis à l’ensemble des employés, figurent dans la BDES, puis déposés en tant que référence probatoire et en toute confidentialité à la CCI ou à la DIRECCTE. Un représentant du personnel, ou un employé référent dans les TPE, est nommé pour être associé au suivi du déroulement du plan de recrutement.

Les questions de formation (à l’anglais, aux nouvelles technologies, à l’action commerciale, au management) ne sont volontairement pas abordées dans le cadre de cette proposition car elles relèvent de mécanismes de financement différents.

Dès le recrutement du premier emploi de développement, l’entreprise est dispensée le mois suivant de toutes ou partie de des cotisations ASSEDIC. Pour des raisons de transparence, de lisibilité et de sécurité, il faudra identifier dans la codification ROME de Pôle Emploi les métiers éligibles à ces emplois d’investissement.

On prévoira une déclaration trimestrielle semblable à celle du contrat de génération visant à s’assurer que l’emploi demeure pourvu et que la déduction de cotisations reste donc licite.

Si, pour quelque raison que ce soit, l’employé quitte l’entreprise et n’est pas remplacé sous un mois, la déduction cesse d’être possible.

Avantages :

Le CIR/CII est trop ciblé sur des fonctions d’ingénierie, trop complexe et de fait peu d’entreprises en bénéficient, ou alors elles doivent laisser en chemin un pourcentage substantiel des crédits octroyés à des officines intermédiaires. Le système proposé doit être simple de telle sorte à ce qu’il soit facilement compréhensible, accessible rapidement à toutes les TPE, PME et ETI et qu’il génère le moins de charges administratives possible.

Inconvénients :

La mise en œuvre de ce dispositif amputerait Pôle Emploi d’une partie de ses ressources. Il conviendrait d’effectuer des simulations mettant en balance sur les plans économique et financier ce manque à gagner et la diminution du montant d’indemnisations résultant des emplois créés.

Les indemnités chômage représentant environ la moitié du salaire, si 100000 emplois sont créés, ce sont des cotisations finançant 200000 emplois qui ne sont plus versées…

Certains employeurs peu scrupuleux tenteront d’abuser de ce système et de faire passer des vessies pour des lanternes, à savoir faire passer du temps de gestion ou de production pour du temps d’investissement, comme en ont été victimes le CIR ou la formation continue. Il reviendra au salarié référent ou au DP d’alerter la DIRECCTE en cas d’abus manifeste. Pénalités et sanctions exemplaires, sur le plan de la réputation et/ou sur le plan financier, sont donc à prévoir.

Effets économiques :

La mesure visant à déduire de la totalité des cotisations Assedic la masse salariale des emplois créés trouve son point d’équilibre autour d’un emploi créé pour environ 25 emplois existants.[1]

En effet, les cotisations ASSEDIC sont de 6,4 % du salaire brut (2,4 %  de part salariale et 4% de part patronale). Donc 15 personnes en salaires bruts *6,4% = environ 100% d’un salaire brut moyen. Les cotisations patronales étant de l’ordre de 50% du brut, il faut donc 22,5 salaires bruts moyens (arrondis à 25) pour que les cotisations ASSEDIC 22,5*6,4% recouvrent le coût total d’un salaire moyen.

Exemple : Pour 25 personnes au salaire brut moyen de 1700 €, cela représente 1700*6,4% = 2720 €, soit la masse salariale équivalente à un salaire brut de 1915 € (en prenant 1,42 comme ratio masse salariale / salaire brut), qui constitue un salaire de base tout à fait honorable pour ce type d’emploi. On pourrait même admettre que le salaire proposé soit légèrement inférieur (1750 €) et que la différence finance la formation et l’accompagnement du nouvel embauché.

Concrètement :

  • Si l’effectif de l’entreprise est supérieur à 25 ETP, elle déduit de ses cotisations ASSEDIC le montant de la masse salariale chargée de ces emplois d’investissement, pendant 18 mois (ou pendant 24 mois avec dégressivité de moitié à partir du 13° mois). Elle peut créer plusieurs emplois d’investissement et bénéficier de cette déduction à raison d’un nouvel emploi par tranche de 25 ETP (2 emplois déductibles pour 50 ETP, 3 pour 75 etc…)
  • Si l’effectif de l’entreprise est inférieur à 25 ETP l’entreprise bénéficie du même abattement intégral de cotisation Assedic. Compte tenu de la moindre masse salariale, cet abattement peut ne pas financer intégralement un poste à plein temps, et donc
    • soit un emploi d’investissement est créé en CDI à temps partiel (au minimum 60%),
    • soit cet emploi est effectivement un plein temps et l’entreprise décide de prendre à sa charge le reliquat de salaire non couvert par l’abattement.

Il existe en France de l’ordre de 2 millions de TPE (1 à 9 employés), 160 000 PME (10 à 249), 4500 ETI (250-5000) et 200 Grands Groupes (>5000.). PME et ETI emploient environ 7 millions de personnes.

20% des demandeurs d’emploi sont constitués de cadres et de professions intermédiaires, susceptibles d’occuper ces emplois d’investissement, soit une population estimée à 800 000 personnes.

  • Si 25 à 30% des PME & ETI jouent le jeu, ce sont 100 000 emplois qui sont créés.
  • Si la plupart des PME & ETI jouent le jeu, ce sont plus de 250 000 emplois qui sont créés.

Mais surtout, dans un contexte économique où la demande est atone, les entreprises multiplient leurs chances de susciter la demande et d’aller conquérir de nouveaux contrats, eux même créateurs à terme d’emplois de production.

[1] Actuellement, l’embauche en CDI d’un jeune de moins de 26 ans donne droit à un abattement durant 4 mois des cotisations ASSEDIC patronales (4%). Cette disposition pourrait être généralisée aux emplois d’investissement, le ratio de 25 devenant alors mathématiquement 40 ETP. Alternativement, on peut laisser l’entreprise assumer la part salariale des cotisations.

 

Evolution des résultats électoraux sur Boulogne-Billancourt de 2012 à 2015

La participation au 2° tour des élections régionales de 2015 est plus basse qu’aux élections de 2012 et légèrement en hausse par rapport aux municipales de 2014.

Entre le premier tour de la présidentielle de 2012 et le premier tour des régionales de 2015, les partis traditionnels (UMP/LR et alliés, PS) ont chacun perdu un peu plus de 40% de leurs électeurs. Guerres des chefs à tous les échelons et affaires politico-financières nationales à droite, divergences par rapport au programme présidentiel de 2012, dont une politique fiscale erratique à gauche, et absence de résultats sur le chômage expliquent amplement ce phénomène, proche du discrédit de chaque côté. Il suffit de parler avec des militants ou sympathisants de tout bord pour en avoir confirmation.

En nombre de voix le FN est stable (environ 3500 aux premiers tours, 2400 aux deuxièmes tours), sa progression en valeur relative n’est due qu’à l’abstention et à la désaffection des électeurs pour les partis traditionnels. Notre ville se distingue du reste du pays sur se plan.

En 18 mois, entre le premier tour des municipales de 2014 et le premier tour des régionales de 2015, le PS+EELV progressent d’environ 80%,  et de 114% entre les deuxièmes tours des mêmes élections, face à une droite divisée aux municipales et unie aux régionales. Le score de la gauche unie au deuxième tour des régionales est des deux tiers de celui de l’ensemble des partis de gauche au premier tour de la présidentielle.

La désaffection de nos électeurs est durable et il nous reste un long chemin de reconquête à parcourir.

18 mois de gestion municipale par le FN…

Le Front national a la langue bien pendue, la bouche pleine de haine et d’approximations, les lèvres secouées d’invectives et d’insultes. Le parti de la peur se réfugie encore très souvent dans le ministère de la parole. Le Front national n’aime pas trop le débat, il lui préfère le pugilat. Il déteste surtout les faits, et privilégie les fantasmes.

Animée par Sarah Proust et Elsa Di Méo, Secrétaires nationales du PS, une équipe de militants socialistes bénévoles a assuré un suivi minutieux des actions, des déclarations – et des provocations – des responsables municipaux de l’extrême droite.

Résultat de ce travail, le livre noir « 18 mois de gestion municipale par le FN. » se concentre précisément sur les faits. Cet ouvrage s’est donné pour tâche de regarder en détail ce que les maires frontistes font et défont au quotidien, sur le terrain. Factuel et précis, ce « livre noir » est une sorte de fact checking extrêmement salutaire : passer les paroles du Front national à l’épreuve des faits permet de pointer les preuves de ses méfaits…

Le livre noir « 18 mois de gestion municipale par le FN » est accessible ici.