Archives de l’auteur : Vincent Guibert

Merci !

Chers lecteurs et lectrices, chers concitoyen(ne)s, chers ami(e)s,

Ces quelques lignes pour vous remercier de nous avoir accordé votre confiance les 23 et 30 mars dernier.

Dans un climat national difficile, qui traduit l’inquiétude et le mécontentement de nombreux Français, vous êtes 5506 à avoir porté hier votre suffrage sur la liste « La ville citoyenne » et je vous en remercie.

Notre groupe d’élus comptera 4 conseillers municipaux et je suis très honoré de siéger parmi eux.

Dès maintenant il nous revient de nous mobiliser pour vous représenter, pour défendre nos idées et propositions, pour entreprendre de nouvelles initiatives, pour rebâtir la confiance dans l’action politique et dans ses élus, pour maintenir les liens établis avec la société civile que nous incarnons, et pour en tisser de nouveaux.

Nous sommes à votre écoute et en reparlerons bientôt.

Bien amicalement

Vincent.

Le nouveau souffle, c’est maintenant !


Dès la rentrée 2012 nous avons constaté des premiers écarts entre la réalité de l’action gouvernementale et le programme du candidat, et avons été interpellés par le « bashing anti-Hollande », tintamarre médiatique déclenché par l’UMP dès fin août à propos de la Syrie. Nous avons émis au sein du PS des premières alertes et depuis, sans fin, nous avons sans relâche insisté sur la nécessité de tenir bon sur un certain nombre de chantiers essentiels : le non-cumul des mandats, le droit de vote pour les résidents étrangers, la poursuite post-Cahuzac des réformes fiscales, la réforme du système bancaire, le « juste échange », version officielle d’un protectionnisme européen et raisonné que nous avions défendu aux côtés d’Arnaud Montebourg durant les primaires de 2011.

Nous avons eu le sentiment d’être très peu entendus et avons assisté, impuissants, à l’effritement progressif d’une action gouvernementale alternant réformes courageuses et hallucinantes improvisations, notamment en matière de communication.

Puis sont venues les campagnes électorales. A Boulogne-Billancourt s’est tenue en septembre 2013 une élection primaire socialiste ouverte à tous les électeurs, et soigneusement ignorée des media comme de la rue de Solférino.

Au même moment de nombreuses personnes à faibles revenus ont réalisé qu’elles devenaient imposables, mécaniquement, parce que les seuils des tranches d’imposition n’avait pas été relevés. Oubli, ou attitude délibérée ?  Peu importe : ce fut une faute majeure que ni les très bonnes lois Sapin, ALUR, Consommation, Egalité, votées en cet automne-hiver 2013/2014, ni l’action de Thierry Mandon à la tête de la mission de simplification administrative, ni les résultats d’Arnaud Montebourg en matière de sauvegarde de l’emploi et de redressement industriel n’ont pu occulter. Nous nous sommes pris cette question des impôts en pleine face et nous n’en avons pas été pardonnés.

Dans le même temps, à quatre mois de l’élection municipale, le Parti socialiste organisait fin novembre 2013 un grand Forum sur « Le progrès face aux idéologies du déclin », en présence d'Harlem Désir, Premier secrétaire du Parti socialiste, d’universitaires, de chercheurs, d’entrepreneurs, de responsables associatifs. Comment, après 18 mois de pouvoir, peut-on être plus déphasé que cela ?

Deux ans après le retour de la Gauche au pouvoir le verdict est cinglant : le traité européen n’a pas été renégocié, les résidents étrangers n’ont pas pu voter aux municipales, des gens modestes payent l’impôt sur le revenu et ont de ce fait perdu des droits ou allocations, le chômage ne régresse pas, l’investissement progresse peu, la transition énergétique patine : la confiance n’y est plus.

Les forces de l’argent, confortées par une loi minimaliste sur la séparation des activités bancaires, égoïstes et obnubilées qu’elles sont par leurs tranches d’impôt à 45% ou 75% et par leur ISF, entretiennent l’image de l’échec, agitent la menace de la fuite à l’étranger et semblent se féliciter de la prétendue moindre attractivité de la France, tout en acceptant d’empocher les 20 Milliards de CICE et bientôt 10 Milliards d’allègements de cotisations famille. Avec en alliée, une presse en mal d’audience qui ne sait plus que titrer sur la désillusion des abstentionnistes, la cravate ou le scooter d’un Président, les incompétences présumées des uns ou des autres et la montée, en fait toute relative, du FN.

A cela s’ajoute un sentiment d’incapacité récurrente à faire vivre une communication structurée et cohérente entre l’Elysée, Matignon, les ministères, l’assemblée et un Parti Socialiste trop souvent aux abonnés absents, malgré le potentiel et les initiatives de quelques jeunes Secrétaires Nationaux.

 

Et donc fin mars 2014 : « La baffe, c’est maintenant ! »

Nos électeurs ne sont pas revenus, leur abstention et leur silence sont assourdissants. A Boulogne-Billancourt pour la Gauche : 24% au premier tour de la Présidentielle, 37% au second, 14% au premier tour de la municipale, 15,5 % au second. Dans les Hauts-de-Seine, terre toujours difficile pour les socialistes, des scores divisés par deux depuis 2008, 4 villes sur perdues sur 5 où nous étions sortants.

Nous sommes bien conscients que l’exercice du pouvoir est un acte difficile, que les marges de man?uvre sont étroites et qu’un gouvernement quel qu’il soit est coincé entre plusieurs systèmes qui ne facilitent pas sa progression :

  • les contraintes de notre appartenance à l’Union Européenne et à la zone Euro ;
  • les oppositions idéologiques ou interpersonnelles au sein de la majorité présidentielle ;
  • le monde de la finance qui demeure cet adversaire sans visage, sans nom et sans parti, relayé par ses lobbies zélés et efficaces ;
  • une presse en mal de sensation ;
  • les partis politiques et les partenaires sociaux dont les leaders à tous les échelons se soucient plus de leur poste et de leur image que de l’intérêt général ;
  • une haute administration carriériste, adverse au risque et capable d’une inimaginable résistance au changement.

Nous connaissons ce contexte, nous devons faire avec et nous ne pouvons en invoquer l’excuse. La gauche dispose encore de trois années de pouvoir, mais nous n’avons plus que quelques semaines pour restaurer la crédibilité de la majorité en engager vers le succès la seconde moitié du quinquennat.

Comment rétablir la confiance et faire revenir le succès ?

C’est sur le terrain du redressement économique et de la justice sociale que se gagnera la partie, même s’il ne faut pas négliger telle ou telle réforme sociétale emblématique. Sur le fond comme sur la forme, le gouvernement doit tirer les leçons des 22 derniers mois et de sa défaite cuisante aux municipales, et se résoudre à s’y prendre différemment.

Le nouveau gouvernement devra afficher une politique nouvelle et surtout, apporter une attention extrême à sa cohérence, à sa cohésion et à sa communication. Cela se résume en six chantiers prioritaires et huit points de gouvernance à respecter.

 

Sur le fond, six grands chantiers à intensifier, à reprendre ou à engager

  1. S’affranchir de certaines contraintes européennes trop pesantes et handicapant notre consommation intérieure ;
  2. Maintenir les dispositifs de redressement productif mis en place en 2012, leur donner plus de moyens et intensifier la promotion du Made-In-France ;
  3. Lutter sans relâche contre les excès de la finance, durcir la loi de séparation des banques, reprendre les réformes fiscales, intensifier la lutte contre la fraude, l’év
    asion et l’optimisation fiscales ;
  4. Aller au bout du pacte de responsabilité en y intégrant des contreparties réelles et tangibles et en ne cédant rien au patronat financier ;
  5. Donner plus de corps et plus de visibilité à la transition énergétique, sans gaz de schiste
  6. S’atteler à la question du vote des citoyens étrangers résidant sur le territoire français.

 

Sur la forme, huit points de gouvernance à respecter

  1. Réaffirmer nos convictions, exprimer une vision sociale et économique enthousiasmante de l’Union européenne et de la France à 10 ans, sous la forme de 6 à 8 grandes lignes d’ambitions ; Reprendre les 60 engagements de 2012, en dresser un bilan honnête et complet, intégrer les évolutions conjoncturelles et les acquis de ces deux dernières années ; En publier une feuille de route dont une première étape se situe nécessairement en 2015 et une deuxième en 2017.
  2. Communiquer franchement et régulièrement sans nier les difficultés potentielles, ni occulter les craintes inavouées ou les résistances présupposées ;
  3. Impliquer le parlement, solliciter les partis politiques de tous bords, les partenaires sociaux, les associations et tous les représentants des forces sociales et économiques bien en amont des décisions, généraliser l’approche par la concertation, la négociation et la contractualisation ;
  4. Elaborer ainsi des « contrats de progrès » dans tous les domaines et les rendre publics, afin que les engagements soient clairs, connus de tous. Ainsi légitimés ils y puiseront une force supplémentaire ;
  5. Ecouter, évaluer les impacts avant de décider et d’annoncer, ne plus laisser « fuiter dans la presse pour voir si? », tester sur des périmètres réduits avant de généraliser, évaluer les actions après-coup ;
  6. Garantir une cohésion et une solidarité interministérielle sans faille ;
  7. Mettre au pas la haute administration, lui rappeler qu’elle est là pour servir le bien commun et non pour assurer le développement de carrières personnelles ;
  8. Dénoncer et sanctionner tout écart de conduite sur ces deux derniers points en les rendant publics et en démettant ceux qui s’en rendent responsables ;

Nous exigeons que le Président et le nouveau gouvernement aient le courage de ce bilan, affirment le cap à tenir et s’attellent à la réalisation de ces chantiers, par leur déclinaison minutieuse au sein des cabinets ministériels, des commissions parlementaires, de missions ou conférences ad-hoc, puis par le suivi rigoureux de leur mise en place et de leurs effets. En synthèse, nous ne demandons ni plus ni moins que ce qui se pratique régulièrement en entreprise lorsqu’est établi puis décliné un plan stratégique, avec ses inéluctables aléas, changements ou évolutions en cours de route.

Voilà en substance ce que nous attendons du gouvernement remanié, et d’un Parti Socialiste qui doit l’être tout autant. C’est le minimum que nous devons à cette majorité de Françaises et de Français que nous avons convaincue de porter François Hollande au pouvoir en 2012.

Le nouveau souffle, c’est maintenant !

 

Je cherche à devenir client fibre Orange, 6° épisode #FrenchTech cc @orange_conseil @orange_france

Résumé des épisodes précédents

On va faire simple:

Depuis le 10 janvier dernier je cherche à devenir client fibre orange.

Les premières tentatives d’installation de la fibre ont échoué. La seule chose qui fonctionne dans cette galère, c’est l’émission de factures par l’opérateur historique.

A la fin de l’épisode précédent, j’attends qu’Orange me recontacte pour un nouveau rdv d’installation.

Ce n’est que le 3 mars, presque 3 semaines plus tard, qu’Orange me rappelle et rdv est pris pour le 12 mars 8h. Confirmation dès le lendemain par sms

 

IMG_8187-1-.PNG

 


12 mars 8h00 : rien
12 mars 9h00 : rien
12 mars 10h00 : rien
12 mars 11h00 : rien

Je ne voudrais pas sombrer dans le pessimisme mais j’ai bien peur que ce ne soit pas pour aujourd’hui…

Les grands mouvements annoncés dans le monde des opérateurs téléphoniques me donneraient presque l’envie d’attendre et de voir comment vont évoluer les offres. Mais ça risque de reporter l’opération à la Saint Glin-Glin …

Amis lecteurs qui suivez ces chroniques et m’en parlez de temps à autres, sachez combien je suis sensible à votre soutien et à votre empathie.

Alors nous n’allons pas renoncer si près du but, n’est-ce pas ?

à suivre…

Je cherche à devenir client fibre Orange, 5° épisode

Résumé des épisodes précédents

On va faire simple:

Depuis le 10 janvier dernier je cherche à devenir client fibre orange.

Les premières tentatives d’installation de la fibre ont échoué. La seule chose qui fonctionne dans cette galère, c’est l’émission de factures par l’opérateur historique.

A la fin de l’épisode précédent, nous cherchons toujours où se trouve le boitier de raccordement, Orange n’étant pas en mesure de fournir à son installateur les plans de cablage.

19 février 8h, l’installateur est ponctuel, grâce à notre gardien nous savons où se situe le boitier de raccordement donc ça va être du gâteau : il suffit de trouver le fourreau qui communique entre ce local et notre appartement, et le tour est joué.
Deux heures, 9 fourreaux et 30 mêtre de cable-aiguille plus tard, nous devons renoncer. Les fourreaux (téléphone, cable-tv ou vides) sont bouchés, et ceux qui ne le sont pas débouchent nulle part.
L’installateur « voit avec son chef » qui doit me rappeler dans les jours qui suivrent. Nous conviendrons alors d’un nouveau rdv pour une installation apparente passant par l’extérieur des murs.
à suivre…

Je cherche à devenir client fibre Orange, 4° épisode

Résumé des épisodes précédents

On va faire simple:

Depuis le 10 janvier dernier je cherche à devenir client fibre orange.

Les premières tentatives d’installation de la fibre ont échoué. La seule chose qui fonctionne dans cette galère, c’est l’émission de factures par l’opérateur historique.

 

15 février, l’installateur est là à l’heure convenue, même un petit peu avant, ce qui est déja un progrès notoire par rapport aux pieds nickelés de la fois précédente.

L’installateur, pourtant mandaté par Orange qui a par ailleurs effectué les travaux de raccordement de notre immeuble au réseau fibre il y a quelques années, ne dispose d’aucun plan du cablage existant.

 

Donc nous nous en remettons à l’empirisme, à l’archéologie, pour tout dire au pifomètre voire au système D.

Nous parcourons donc les couloirs de l’immeuble à la recherche du boitier de raccordement. Peine perdue, deux placards sont fermés à clés. Selon l’installetaur, c’est nécéssairement dans l’un d’eux que se trouve le boitier de raccordement. Mais ni le gardien ni le président du conseil syndical ne sont là en ce début d’après-midi.

 

Donc chou blanc, nous remettons cela au mercredi suivant.

Dès le lundi, le gardien m’apprendra que c’est dans un troisième placard que se trouve le boitier…

 

à suivre…

La suite de ma tentative de débuts chez Orange.fr

Episode 3

Résumé des épisodes précédents : Après avoir unilatéralement annulé le rdv d’installation de la fibre à mon domicile, Orange m’envoie deux pieds nickelés qui se présentent un samedi à 18h, avec 5 heures de retard, incapables de trouver le répartiteur et d’effectue rle raccordement.

Lundi 3 février à 14h50 : Alerté par un nième twitt ou message, le service client d’Orange m’appelle et me propose un nouveau rdv d’installation pour le lendemain, mardi 4, 13h. Je réponds à l’opératrice que malheureusement ce n’est pas possible pour moi à cette date-là en raison d’un engagement professionnel (je rappelle aux nouveaux que dans la vie, je fais autre chose que d’attendre qu’Orange vienne m’installer la fibre). L’opératrice me demande alors de contacter le 3970 en vue de ? « Hoooop, l’interrompe-je, pas question Madame, désolé, j’ai déjà donné, à vous de me proposer un créneau ». Ce qu’elle fait sans barguigner, et nous convenons d’un nouveau rendez-vous le 12 février à 13h. Histoire de lever toute ambiguïté je demande confirmation « C’est bien 13 h et non « à partir de » 13h ? » . Oui Monsieur, 13h. Merci Madame, au revoir.

Mardi 4 février à 13h06, devinez quoi : un appel sur mon portable « Bonjour M’sieur, c’est l’installateur Orange j’suis en bas d’chez vous ! ». Je réponds au brave homme que je suis au bureau et que le rdv avait été recalé au 12 à 13h, je suis désolé qu’il se soit déplacé pour rien. « C’est pas grave M’sieur on reviendra le jour convenu ».

Mercredi 12 février à 13h00. J’ai rushé pour rentrer de rdv, déjeuné avec un lance-pierres. Je suis chez moi et j’attends. 5 minutes, 10 minutes, 30 minutes. Rien, personne, pas un appel. Message désabusé à Orange Conseil via texto et twitter, puis, d’une zenitude dont je ne me soupçonnais pas capable, je repars au bureau. La fibre, ce ne sera pas encore pour aujourd’hui.

Mercredi 12 février à 15h07 : Un appel sur mon portable « Bonsoir Monsieur, je suis le responsable de la société xxx, nous sommes l’installateur mandaté par Orange pour l’installation de la fibre, je vois que dans votre dossier il y a quelques problèmes, je prends les choses en main directement, je verrai avec Orange une fois que tout cela sera réglé. » Rapidement, nous convenons d’un rdv le samedi suivant à 13h. Je luis fait confirmer 13h (!) et de lui-même il m’assure en retour qu’il m’envoie une équipe plus sérieuse que ceux de la dernière fois.

La fibre, le haut débit, la fin des pixellisations incessantes, des coupures intermittentes et des longs délais de chargement dignes des modems acoustiques, c’est donc peut-être pour samedi 15 février en milieu d’après-midi

A suivre?

La fin de mes débuts chez @Orange, à moins que ce ne soit tout simplement la fin tout court.

Résumé de l’épisode 1.

Le 10 janvier dernier, j’ai souscrit auprès d’Orange une Offre Ed Open Play 4G/H+ Fibre SIM. L’installation était programmée le 16. Le 15 au matin, je reçois un appel d’Orange m’annonçant que, en raison d’un problème informatique dans la transmission du dossier, l’installation ne pourra avoir lieu comme prévue, et qu’il me revient de contacter le service technique pour convenir d’une nouvelle date. Presque une heure plus tard, après avoir lutté contre les serveurs vocaux et avoir déjoué leurs stratégies de dissuasion, j’étais tombé sur un sympathique agent, qui m’avait promis que le service technique me rappellerait dans la journée pour convenir d’une nouvelle date d’installation.

Nous en étions restés à :

« Vendredi 17 janvier 9h17 : J'attends toujours l'appel du service technique, la fibre qui devait être installée le 16 ne l'est pas. »

Episode 2

Le lundi 20, toujours sans nouvelles, j’interpelle amicalement Orange sur twitter, qui presque instantanément via @Orange_Conseil accuse réception et m’invite à passer en DM (Direct Message, messagerie privée), afin de leur communiquer mes coordonnées.


Le Mardi 21 à 9h30 : @Orange_Conseil me répond que les services techniques sont informées et qu’ils prendront contact avec moi.


Le Lundi 27 à 14h47 : sans nouvelles depuis le 21, je relance @Orange_conseil par DM et miracle, je suis appelé quelques minutes plus tard par le service technique. RdV est pris pour le Samedi 1er Février à 13h.


Le Lundi 27 à 17h54 : je reçois un texto me confirmant le rdv entre 13 & 15h.


Le Jeudi 30 à 08h32 : je reçois un nouveau texto me confirmant le rdv entre 13 & ? 17h.


Le Vendredi 31 à 15h49 : je reçois un appel du technicien pour confirmation de l’adresse et de l’horaire. Il a une autre intervention planifiée le lendemain à Boulogne-Billancourt, il doit me rappeler avant la fin de la journée pour confirmer son horaire de passage. J’ai confirmation que l’intervention durera une heure ou deux, je lui confirme l’adresse et les codes d’accès à l’entrée de notre immeuble. J’explique que la prise du téléphone est assez loin de l’entrée de notre appartement et souhaite m’assurer que ça ne posera pas de problème de longueur de câble ou autre. Et là, nigaud que je suis, je réalise l’inanité de ma question : nous sommes au 21° siècle, la fibre c’est un réseau à part, pas besoin de l’accès aux antédiluviennes prises téléphoniques. Ce que me confirme le technicien.


Le Samedi 1er à 13h12 : le technicien m’appelle pour m’informer qu’il sera là vers 16h. Des amis viennent voir le France-Angleterre de rugby à la maison, coup d’envoi à 18h, puis resteront dîner. Je commence à être vaguement inquiet mais demeure stoïque. J’ai foi en ces telecom que le monde entier nous envie.


Le Samedi 1er à 17h07le technicien (qui, rappelons-le, devait être là à 16h), m’appelle pour me dire qu’il sera là « dans 20 minutes ».


Le Samedi 1er à 17h56 : le technicien (qui, rappelons-le, aurait pu être là sur le coup de 17h27), m’appelle pour me dire qu’il est devant l’immeuble mais qu’il n’a plus les codes d’accès. Je les lui redonne et viens à sa rencontre. Ils sont deux, grand gaillards sympathiques et plutôt cool, les bras chargés de boites orange et de caisses à outils. Un petit air de Noeël high-tech après l’heure. Ils s’excusent pour leur retard, et m’expliquent que l’intervention précédente a duré plus longtemps que prévue. On s’en doutait.


Le Samedi 1er à 18h00 : nous sommes dans l’appartement, j’ai raté le coup d’envoi et ne peux voir que du coin de l’?il le premier essai du XV de France.


L’un des techniciens part explorer le couloir de l’immeuble, à la recherche du placard dans lequel arrive la fibre depuis l’armoire centrale située dans le parking.


L’autre me demande, à mon grand étonnement, où se trouve la prise du téléphone. Cette prise est située dans un espace d’une vingtaine de centimètres séparant un grand meuble du coin du séjour. « Faudrait pouvoir déplacer le meuble j’ai besoin d’un bon mètre, me dit-il, on peut peut-être passer par la gaine ». « Ah bon, lui réponds-je, j’avais cru comprendre que la fibre était installée indépendamment du réseau téléphonique. Quoiqu’il en soit ça ne va pas être possible, il y en a pour plusieurs heures s’il faut vider et le déplacer ce meuble, nous avons du monde ce soir donc c’est inenvisageable ». Regard vague du technicien, qui me dit « ok, attendez » et part à la recherche de son collègue dans le couloir.


Quelques minutes passent, qui me permettent de voir le deuxième essai des bleus. N’entendant plus aucun bruit dans le couloir, je pars à la recherche des deux techniciens, je les retrouve dans le hall de l’immeuble, ils avaient à nouveau égaré le code. Nous retournons à mon étage. Ils avisent sur le pallier un placard fermé à clé, m’affirment que le boitier de répartition est dedans, ce que je veux bien croire. Ils me demandent alors où est la clé, si j’ai bien l’autorisation du syndic et si je peux faire ouvrir le pla
card.


Je leur réponds que j’ignorais qu’il fallait une telle autorisation, que je ne vais déranger ni le syndic ni le gardien un samedi à 18h20.

Sur ce arrivent mes premiers invités.

Le Samedi 1er à 18h25 : nous sommes de retour à l’appartement. Les deux techniciens sont très embarrassés par la configuration des lieux, par la distance qui sépare ce placard de l’entrée de notre appartement, et par l’emplacement de la prise téléphonique. Que faire ?


J’en conclus qu’il est grand temps pour eux de rentrer à la maison et leur demande de partir. Ils semblent surpris de la soudaineté de ma décision mais l’acceptent sans rechigner et en s’excusant encore. Je les autorise à indiquer dans leur compte rendu de visite que j’ai mis fin leur intervention.


Tant d’amateurisme, de légèreté et d’incompétence me laissent pantois. Cette situation n’est agréable pour personne, ni pour le client que je tente de devenir, ni pour les techniciens qui partent avec un sentiment de travail mal fait.

Au point où nous en sommes, deux options de présentent :

  • Je me rétracte, réexpédie le tout à Orange, et reste avec mon installation SFR chaotique.
  • Je persévère, mais comment, et auprès de qui ?

 

Le Samedi 1er à 18h30 : Il est clair que ce n’est pas ce soir que serons raccordés à la fibre.

Il est clair que ce ne sera peut-être jamais.

« Le dieu du carnage »; version boulo-billancourtoise

 Historique des alliances de la droite boulonnaise au XXI° siècle.

 

Cohérence des prises de positions, des alliances et des soutiens, dans le plus grand respect de l’électeur. Les initiés reconnaitront les protagonistes, la bande des 4 (PCB, JPF, TSO, PMD) qui depuis vingt ans tient la droite locale. Un glossaire en fin d’article permet à tous d’y voir un peu plus clair.

 

1995-1999 : JPF Sénateur-Maire et PCB son Premier Adjoint, tous deux UDF, sont alliés. PMD et TSO ne sont pas encore sur le devant de la scène. Tous les liens sont au vert.

1999-2000 : PCB s’oppose au PLU proposé par JPF. Il perd sa délégation de Premier Adjoint. La relation JPF ? PCB passe au rouge.

2001 : PCB s’éloigne de l’UDF nationale et de François Bayrou en refusant de voter la censure budgétaire à l’assemblée. Il y gagne une investiture RPR/UMP aux législatives de 2002. La relation JPF ? PCB reste au rouge, idem de fait pour la relation PMD ? PCB.

2004 : Cantonales nord-ouest : PCB et TSO, autre adjoint de JPF, s’affrontent au premier tour. La relation PCB ? TSO passe au rouge.

2006 : TSO est brutalement démis de sa délégation de Maire-Adjoint par JPF : La relation JPF ? TSO vire au rouge

2007 : JPF cède le fauteuil de Maire à PMD ainsi intronisé dauphin en vue des municipales de 2008

2007 : législatives : DPI soutenue par JPF (UDF/MODEM/NC) opposée à PCB (UMP) au premier tour. TSO soutient PCB, la relation PCB ? TSO repasse au vert.

2007 : C’est PCB soutenu par TSO, et non PMD, qui reçoit l’investiture UMP pour les municipales ; La relation PMD ? TSO passe au rouge

2008 : Municipales, la liste JPF soutenue par PMD est dissidente de la liste UMP menée par PCB & TSO. La relation PCB ? TSO re-passe au vert. PCB élu Maire prend TSO comme premier adjoint mais se retrouve avec deux oppositions : Gauche et JPF

2009-2010 : Quelques conseillers de « l’opposition » JPF rejoignent la majorité « PCB »

2011 : Clash au CM, TSO crée la 3° opposition à PCB ? La relation PCB ? TSO re-passe au rouge

2011 : TSO et PMD, tous deux opposés au projet PCB pour l’Ile Seguin, s’affichent ensemble dans les journaux et sur des tracts. La relation PMD ? TSO repasse au vert.

2012 avant le 6 mai : R
estait une combinaison à tester, grâce à CGU c’est chose faite et donc chez les leaders UMP locaux c’est : Tous contre Solère ! PSB-PMD repasse au vert, JPF-PCB repasse au vert, et PMD-TSO vire au rouge. L’UMP locale, les militants, sont plutôt acquis à TSO.

2012 après le 6 mai : JPF et PMD soutiennent TSO aux législatives contre CGU, et de ce fait TSO, l’ami de Jean Sarkozy, est exclu de l’UMP. L’enjeu de tout cela est un arc anti-PCB pour les municipales de 2014. PMD faisant également les yeux doux aux Verts et à certains PS.

2012 novembre : L’UMP se déchire lors de l’élection de son nouveau Président. PCB soutient Fillon; TSO soutient Copé, le même Copé que celui qui l’a exclu de l’UMP 6 mois auparavant. TSO dénonce la parodie de referendum organisé par la majorité municipale pour le projet « Ile Seguin »

2013 : A l’approche des municipales JPF comme TSO soutiennent PMD et c’est PCB qui se retrouve seul. Seul? Pas tout à fait puisque l’UDF, pardon, l’UDI, annonce son retour, alors qui sait ? Deux années de stabilité dans les alliances à droite? mais soudain le 11 avril 2013, un nouvel adjoint prend ses distances et se détache de la majorité.

En 2014, à l’approche des élections municipales, tout semble stable. Mais pour combien de temps ?

 

Glossaire

BB : Boulogne-Billancourt

PCB : Pierre-Christophe Baguet, Député-Maire, ex-adjoint UDF de JP Fourcade et démissionnaire en 2000, investi par le RPR en 2002 puis par l’UMP en 2007 & 2008

JPF : Jean-Pierre Fourcade, ex-Sénateur Maire, actuellement leader du groupe d’opposition municipale Centre Droite « Unis pour BB »

PMD : Pierre-Mathieu Duhamel : Ephémère maire en 2007/2008; « en réserve » pour 2014

CGU : Claude Guéant, ex Ministre de l’Intérieur.

TSO : Thierry Solère, Conseiller Général, Adjoint répudié de JPF en 2006, puis de PCB en 2011, leader de la deuxième opposition de droite, candidat dissident UMP contre CGU. Temporairement exclu de l’UMP pour 3 ans depuis février 2012. N’habiterait plus BB (à vérifier). Son groupe d’opposition aurait fusionné avec celui de Fourcade.

DPI : Dorothée Pineau, ex-maire-adjointe de JPF, conseillère municipale « d’opposition » dans le groupe de JPF, candidate « Alliance centriste » aux législatives ; a fait moins de 10% aux législatives sous étiquette MoDem, sa suppléante ayant soutenu la candidate du PS au deuxième tour en 2012.

Arnaud #MONTEBOURG, Ministre du Redressement productif, s'est rendu ce jour à la deuxième conférence ministérielle européenne des Amis de l'industrie à Rome

Arnaud MONTEBOURG, Ministre du Redressement Productif, était ce jour à Rome pour la deuxième rencontre des Amis de l’Industrie, après une première réunion à Paris le 23 octobre 2013. Le ministre se félicite de « la dynamique évidente qui est désormais à l’?uvre en Europe au niveau politique, autour de l’objectif partagé d’une reconquête industrielle au sein de l’Union Européenne ». Il estime également qu' « avec 8 pays signataires de plus qu’en octobre dernier, et des points d’accord très solides, la réunion des amis de l’industrie est maintenant une instance politique qui va compter sur le front de la réorientation de l’Europe ». Veuillez trouver le communiqué de presse commun sur lequel 17 des membres de l’Union Européenne se sont mis d’accord. Communiqué conjoint de M. Arnaud MONTEBOURG, Ministre du Redressement productif, France M. Flavio ZANONATO, Ministre du Développement économique, Italie M. José MANUEL SORIA, Ministre de l'Industrie, du Tourisme et de l'Innovation, Espagne M. Kostis HATZIDAKIS, Ministre du Développement et de la Compétitivité, Grèce Mme Sabina SKRTIC, Vice-Ministre de l'Economie, Croatie M. Andrei Dominic GEREA, Ministre de l'Economie, Roumanie M. Dragomir STOYNEV, Ministre de l'Economie et de l'Energie, Bulgarie M. Petr BURIANEK, Ambassadeur de la République Tchèque Mme Zaiga LIEPINA, Vice-Secrétaire d'Etat au Ministère de l'Economie, Lettonie M. Etienne SCHNEIDER, Ministre de l'Economie et du Commerce extérieur, Luxembourg M. Jean-Claude MARCOURT, Ministre de l'Economie, Belgique Mme Andreja KERT, Secrétaire d'Etat au Ministère du Développement économique, Slovénie M. Pedro GONCALVES, Secrétaire d'Etat au Ministère de l'Economie, Portugal M. Pavol PAVLIS, Secrétaire d'Etat au Ministère de l'Economie, République Slovaque M. Evaldas GUSTAS, Ministre de l'Economie, Lituanie M. Leonidas MARKIDES, Ambassadeur de Chypre M. Christian CARDONA, Ministre de l'Economie, de l'Investissement et des PME, République de Malte À la lumière des résultats obtenus lors de la première conférence ministérielle européenne des Amis de l'industrie, qui s'est tenue à Paris le 23 octobre 2013, nous réaffirmons notre espoir que le prochain Conseil européen adopte un programme ambitieux pour l'industrie européenne. La crise actuelle justifie encore davantage que l'on continue à mettre en ?uvre des politiques visant à inverser la tendance au déclin et à préparer la reprise économique et le renouveau industriel européen. L'Europe doit s'appuyer sur sa base industrielle, qui demeure un élément central de son économie, et l'adapter aux nouveaux défis sociétaux auxquels elle est confrontée pour en faire un véritable moteur de la croissance et de la création d'emplois à long terme. L'objectif politique visant à porter à 20 % la part de l'industrie dans le PIB européen d'ici à 2020 doit être maintenu et assumé à tous les niveaux de décision. Pour ce faire, nous convenons qu'il est nécessaire d'améliorer la gouvernance en donnant plus d'importance au volet industriel du Conseil compétitivité, notamment en renforçant le rôle du Groupe de haut niveau sur la compétitivité et la croissance pour soutenir l'économie réelle et les secteurs industriels ayant le plus souffert de la crise. Des mesures concrètes et nouvelles doivent être prises en faveur d'une stratégie ambitieuse et renouvelée pour la compétitivité, plaçant l'industrie au c?ur du processus de décision européen. En vertu de l'article 173 du traité sur le fonctionnement de l'Union européenne, l'action de l'Union européenne et de nos pays doit viser à accélérer l'adaptation de l'industrie aux changements structurels. Nous invitons par conséquent le prochain Conseil européen à partager notre analyse et à donner un mandat clair au Conseil compétitivité à cet égard. Un pacte industriel doit compléter le Pacte pour la croissance e l'emploi pour atteindre les objectifs de la stratégie « Europe 2020 ». Ce pacte devra s'appuyer sur un cadre européen des politiques énergétique et climatique à l'horizon 2030 qui soit prévisible et efficace pour le secteur industriel, notamment au regard de la prévention des « fuites de carbone ». Dans cette optique, il est important de définir une cible de réduction des émissions de gaz à effet de serre pour obtenir un accord équilibré au niveau mondial en 2015. Une clause de réexamen doit être envisagée si les résultats des négociations entre l'UE et des pays tiers le justifient. En outre, il conviendrait d'adopter de nouveaux cadres au sein de l'UE visant à limiter la hausse des prix de l'énergie qui affecte la compétitivité globale de l'industrie européenne. Le renforcement des chaînes de valeur industrielles est un facteur clé pour relever le premier défi de l'industrie européenne : l'amélioration de la compétitivité. Nous avons besoin d'une politique industrielle de long terme qui tienne compte de l'interdépendance croissante de nos entreprises et qui offre à la base industrielle de l'UE une compétitivité durable tout en assurant la cohérence des cadres stratégiques et réglementaires. La question de la compétitivité industrielle devrait être prise en compte lors de la conception d'autres politiques sectorielles, de manière à garantir la cohésion entre toutes les actions conduites par l'UE. Nous reconnaissons la contribution importante du secteur manufacturier à la création de valeur ajoutée et à la réindustrialisation. Parce qu'elle recèle un fort potentiel en termes de création d'emplois qualifiés, d'innovation et de développement des exportations et de l'activité économique à l'échelle internationale, l'industrie manufacturière doit être placée au centre de notre action. Dans ce domaine, nous soutenons le choix de mesures orientées prioritairement sur les secteurs en transition et les vecteurs de développement et de croissance d'une industrie manufacturière de pointe. Cette action doit s'appuyer sur un soutien renforcé aux projets de RDI (Recherche, Développement, Innovation) et sur le déploiement des technologies clés génériques et des technologies de rupture. Par ailleurs, la prospérité de l'industrie européenne passe par l'existence d'un marché unique pleinement opérationnel, offrant aux entreprises des règles prévisibles, claires et cohérentes favorables aux échanges commerciaux et à l'innovation. Les règles européennes relatives à la concurrence et aux aides d'État devraient être réexaminées à la lumière des changements dictés par la concurrence mondiale, et l'UE devrait se doter d'un contrôle efficace des subventions octroyées par ses partenaires commerciaux, afin que les entreprises européennes ne soient pas désavantagées vis-à-vis de leurs concurrents internationaux. Il convient dans le même temps de maintenir les règles en matière de concurrence loyale entre les entreprises européennes. Les modalités de financement devraient être diversifiées afin de faciliter la création et la croissance des entreprises, en veillant surtout à développer, aux côtés de l'accès au crédit, les sources de financement non bancaire, comme le capital-risque qui joue un rôle décisif pour les PME innovantes. Parallèlement, l'Europe doit adopter une politique énergétique et climatique orientée vers des approvisionnements à la fois concurrentiels, durables et sûrs et qui prenne en compte les écarts de compétitivité avec nos concurrents, notamment en ce qui concerne les coûts énergétiques et l'évolution du risque de « fuite de carbone ». Nous devons en outre soutenir le développement des infrastructures dans le domaine des réseaux transeuro
péens des transports, de l'énergie et des télécommunications, qui revêtent une importance primordiale pour le développement de nos industries. Face aux nouveaux défis que l'industrie européenne devra relever, nous sommes à ce jour convaincus que les institutions européennes sauront s'accorder sur des actions et un programme ambitieux en matière de politique industrielle, de manière à renouer avec une croissance économique soutenue et durable sur le long terme.

Arnaud #MONTEBOURG salue la fin du conflit à l'usine Goodyear d'Amiens-Nord

 

Arnaud MONTEBOURG, Ministre du Redressement productif, salue la signature d'un accord entre la direction de Goodyear et la CGT du site d'Amiens-Nord, qui met un terme à l’occupation de l’usine et à sept années de relations conflictuelles : « Je prends acte avec satisfaction des concessions réciproques prises par les deux parties au conflit et relève avec satisfaction l’engagement pris de ne rien entreprendre qui puisse désormais faire obstacle à la reprise du site. »

 

La médiation menée, à la demande du gouvernement, par le préfet de la Somme Jean-François Cordet, a donc porté ses fruits. Ce succès démontre la capacité des partenaires sociaux à dépasser leurs divergences pour rechercher le meilleur compromis, dans l'intérêt des salariés et de l'entreprise.

 

Cet accord, d'ores et déjà approuvé par l’assemblée générale des salariés, ouvre la voie à la mise en ?uvre de l'offre de reprise de l'activité agricole portée par Titan International, offre qui assure le maintien de 333 emplois durant 4 ans et un niveau d'investissement important sur le site.

 

L'Etat et les collectivités locales, mettront tout en ?uvre pour que le site puisse également accueillir dans les prochains mois de nouvelles entreprises et pour que les salariés qui perdront leur travail soient accompagnés dans leur retour vers l'emploi.