Indicateur Global d’Avancement du Changement IGAC Evaluation #04 – Jan 2013

L’IGAC, Indicateur Global d’Avancement du Changement, publié par l’Observatoire du Changement, mesure l’avancement de chacune des 195 promesses élémentaires constituant les 60 engagements du programme de François Hollande lors de l’élection présidentielle de 2012.

Tout commentaire, correctif ou précision sera bienvenu. Pour contribuer à l’Observatoire du Changement, c’est simple, c’est gratuit… et c’est bénévole !

Il suffit d’envoyer un mail non anonyme (précisant nom, ville, téléphone) à observactions@neuf.fr en indiquant éventuellement les engagements de FH sur lesquels vous souhaitez exercer une surveillance particulière.  

  

7 niveaux d’évaluation de chaque promesse élémentaire ont été définis. A un niveau donné correspond un score. Le niveau global d’avancement est calculé comme la somme des évaluations élémentaires pondérées selon ces scores.

 

niveau d’avancement

score

1. Pas d’information

0

2. Entrepris selon programme

2

3. Entrepris différemment

1

4. En retard ou suspendu

-1

5. Abandonné

-2

6. En place et conforme

3

7. Effets positifs avérés

5


igac03_dec2012.jpg

 

En cette fin janvier, nous en serions à … 29% d’avancement.

 

igac legende baro jan2013-copie-1

 

L’évaluation complète est accessible en cliquant ici

 

Parmi les sources de satisfaction :

* l’engagement d’un programme d’aide à la relocalisation des industries

* l’engagement de réformes concernant la dépendance

* l’accord interprofessionnel sur la sécurisation de l’emploi

* l’adoption du contrat de génération par l’Assemblée Nationale

 

Parmi les sources d’inquiétude :

* le grand nombre de points sur lesquels manquent des informations

* la timide réforme du système bancaire, un an après le discours du Bourget

* l’arrêt des réformes fiscales

* n’était-il pas question également d’un nouveau Traité de l’Elysée ?

 

 

Merci de signaler toute erreur, imprécision ou ommission.

Transports franciliens et intempéries : la « pagaille » dénoncée par l'UMP n'a pas eu lieu

Communiqué des élus du groupe socialiste et républicain au Conseil régional d’Île-de-France

Hier, Valérie Pécresse et Jean-François Legaret, deux élus UMP franciliens fustigeaient dans un communiqué la « pagaille dans les transports franciliens » suite aux fortes chutes de neige qui ont touché notre région.

Force est de constater que le réseau de transports francilien et la voirie parisienne sont en parfait état de marche, malgré la poursuite des intempéries.

« On connaissait le goût des élus UMP franciliens pour la polémique et la gesticulation, souligne Guillaume Balas, président du groupe socialiste et républicain au Conseil régional d'Île-de-France. On découvre aujourd'hui qu'ils sont de piètres oracles. A croire qu'ils ne souhaitent que du malheur aux Franciliens pour cette nouvelle année. »

Et Corinne Bord, Conseillère régionale, d'ajouter : « Selon Madame Pécresse et Monsieur Legaret, cette « pagaille » fictive était supposée démontrer l'incapacité de la Mairie de Paris et du STIF à gérer la situation. Au regard de la réalité, cette séquence démontre plutôt l'incapacité de l'UMP à  jouer son rôle d'opposition sans sombrer dans le grotesque. Les Franciliens méritent mieux que ces polémiques stériles à répétition. »

Guillaume Balas, président du groupe socialiste au Conseil régional d’Île-de-France

Corinne Bord, Conseillère régionale

 

Accord sur la sécurisation de l'emploi : une avancée majeure pour le monde du travail.

Le Parti Socialiste salue l'accord sur la sécurisation de l'emploi survenu le 11 janvier à l'issue d'un semestre de négociation, ainsi que l'ensemble des partenaires sociaux qui y ont pris part. Cet accord, qui est avant tout un succès du dialogue social voulu par le Président par le République, porte des avancées majeures pour le monde du travail.

Le 9 juillet dernier, ouvrant la Conférence sociale, le Président de la République appelait à « une prise de conscience, mais aussi une prise de responsabilité ». Prise de conscience que la crise n'est pas un simple aléa de la conjoncture, mais un bouleversement du monde qui impose de reconquérir notre souveraineté financière et productive, ainsi que de « faire évoluer notre modèle social pour mieux le garantir ». Prise de responsabilité de l'État et des autres acteurs pour relever ensemble ces défis d'intérêt national : « les sociétés qui connaissent les performances les plus élevées sont celles qui ont su nouer des compromis durables ».

 
Cet accord permet de mieux protéger les salariés contre le chômage en anticipant les mutations économiques et en forgeant de nouveaux droits. La prévention des licenciements économiques et le maintien dans l'emploi dans les périodes de ralentissement d'activité des entreprises seront renforcés par le recours encadré à l'activité partielle.

La précarité au travail sera réduite grâce à la surtaxation des contrats courts, l'encouragement aux CDI au profit d'exonérations de cotisations pour les employeurs, et la lutte contre le temps partiel subi. Les jalons d'une sécurité sociale professionnelle seront posés à travers la création d'un compte personnel à la formation et d'un conseil en évolution professionnelle. La couverture chômage sera renforcée et la complémentaire santé généralisée. Les salariés seront davantage associés aux décisions sur la stratégie de l'entreprise et leurs représentants siégeront dans les conseils d'administration des grandes entreprises avec pouvoirs d'administrateurs et une négociation tri-annuelle sur les plans de formation se déroulera.

Cet accord consolide la mobilisation générale pour l'emploi voulue par le chef de l'Etat et le Gouvernement. La stratégie anti-chômage, à l'heure où celui-ci frappe des millions de ménages dans notre pays, se trouve complétée et consolidée. Au soutien à la croissance au c?ur du pacte européen obtenu par la France, à l'action en faveur de l'investissement qui fonde la politique de compétitivité et la Banque publique d'investissement pour que les entreprises embauchent et innovent, à la politique active de l'emploi que concrétisent les emplois d'avenir, les contrats de génération et les moyens renforcés du Pôle emploi, s'ajoute l'indispensable levier de la sécurisation des parcours professionnels. Protéger les salariés dans la crise, c'est un impératif et une force pour les entreprises.

Enfin, cet accord est un acte de confiance dans la démocratie. La démocratie sociale bien sûr, qui avait besoin d'être encouragée après un quinquennat de stigmatisation des corps intermédiaires. La démocratie politique aussi, car les avancées obtenues traduisent des engagements forts de François Hollande auprès les Français : « je lutterai contre la précarité » (n°24), « je mettrai en place, en concertation avec les partenaires sociaux, la sécurisation des parcours professionnels » (n°35), « je permettrai la présence des représentants des salariés dans les conseils d'administration des grandes entreprise » (n°55).

Pour les salariés et l'emploi, le Parti socialiste souhaite la traduction de l'accord dans la loi, dans son esprit et dans son texte. Il tiendra toute sa place aux côtés du Gouvernement et des partenaires sociaux dans la bataille pour l'emploi, au service des salariés et de la reconquête productive du pays. Il sera force de propositions, notamment dans les trois chantiers qui ont été engagés il y a une semaine par notre Bureau national : la démocratie dans l'entreprise, la progression professionnelle tout au long de la vie, les conditions et la santé au travail. Il travaillera également à enrichir le texte de nouvelles dispositions sur les reprises de sites viables menacés de fermeture.

Communiqué du BN le 15 janvier 2013

 

Arnaud #MONTEBOURG et Fleur #PELLERIN donnent le coup d'envoi des Assises de l'entrepreneuriat

Paris, le 14 janvier 2013

Arnaud MONTEBOURG, ministre du Redressement productif et Fleur PELLERIN, ministre déléguée chargée des Petites et Moyennes Entreprises, de l’Innovation et de l’Economie numérique ont ouvert ce jour, en présence de Pierre MOSCOVICI, ministre de l’Economie et des Finances, Sylvia PINEL, ministre de l’Artisanat, du Commerce et du Tourisme, Jérôme CAHUZAC, ministre délégué chargé du Budget, et Benoit HAMON, ministre délégué chargé de l’Economie sociale et solidaire, les Assises de l'entrepreneuriat, dont l'organisation était prévue par le Pacte national pour la croissance, la compétitivité et l'emploi.

Autour des 18 ministères engagés dans la démarche à la demande du Premier ministre, Fleur PELLERIN a présidé la première séance du comité de pilotage des Assises à laquelle ont assisté les organisations syndicales et patronales, des réseaux d'appui à la création d'entreprises et les 12 entrepreneurs choisis pour piloter les groupes de travail des Assises.

Dès demain, neuf groupes de travail thématiques seront installés et exploreront les principales dimensions de l'entrepreneuriat autour d'une série de problématiques majeures : Comment mieux diffuser l'esprit d'entreprendre auprès des jeunes et mobiliser tous les talents pour la création d'entreprise ? Comment imaginer un cadre fiscal durable pour l'entrepreneur et faire émerger de nouvelles sources de financement ? Quelles voies explorer pour stimuler tous les formes d'innovation dans l'entreprise et offrir à l'entrepreneur un accompagnement davantage personnalisé ? Comment réussir, enfin, la projection anticipée des PME à l'international et promouvoir l'entrepreneuriat « responsable » tout en dessinant les contours de l'entreprise de demain ? Fleur PELLERIN a proposé, à cette occasion, aux entrepreneurs de sceller un véritable pacte de confiance autour de deux objectifs clés : faire de la France un pays plus accueillant pour les entrepreneurs et réconcilier l'impératif de croissance et de compétitivité avec la dimension sociale et humaine de l'entreprise.

Le Gouvernement attend une grande mobilisation pour ces Assises auxquelles prendront part près de 250 personnes dans les groupes de travail, à la tête desquels on note la présence de plusieurs personnalités du monde économique et social telles que Mme Nicole NOTAT, présidente de Vigeo, M. Franck PROVOST, président de Provalliance ou encore M. Christian NIBOUREL, président d'Accenture France. Chacun, entrepreneur, organisation professionnelle ou simplement citoyen, pourra s'exprimer et faire part de ses suggestions puisqu'un site internet (www.assises-entrepreneuriat.gouv.fr) sera mis à disposition tout au long du processus et permettra aux internautes qui le souhaitent de déposer une contribution écrite sur un ou plusieurs thèmes de travail entre le 15 janvier et le 15 février prochain. Les Assises de l'entrepreneuriat seront clôturées courant avril 2013 par une journée de restitution des travaux à l'issue de laquelle le Gouvernement présentera un programme d'action qui devra permettre de doubler le nombre de créations d'entreprises de croissance en cinq ans.

Simplification des démarches administratives #Montebourg Pellerin Moscovici Lebanchu Mandon

Réunion de concertation avec les entreprises sur le programme de simplification de leurs démarches administratives et de leur environnement réglementaire

Pierre MOSCOVICI, Ministre de l'Economie et des Finances, Arnaud MONTEBOURG, Ministre du Redressement Productif, Marylise LEBRANCHU, Ministre de la Réforme de l’Etat, de la Décentralisation et de la Fonction publique et Fleur PELLERIN, Ministre déléguée chargée des PME, de l'Innovation et de l'Économie numérique, ont présidé, le jeudi 10 janvier 2013, en présence de M. Thierry MANDON, député de l'Essonne, une première réunion de concertation avec les entreprises sur le programme de simplification de leurs démarches administratives et de leur environnement réglementaire.

Prévu par le Pacte national pour la compétitivité, la croissance et l'emploi adopté le 6 novembre 2012 et inscrit dans les conclusions du Comité interministériel de modernisation de l'action publique (CIMAP) du 18 décembre 2012, ce programme ambitieux est un important levier d'amélioration de la compétitivité hors-coût des entreprises implantées en France. Il sera construit et mis en oeuvre en coopération étroite entre les administrations et les entreprises. Cette première réunion d'échanges et de consultation illustre cette volonté nouvelle du Gouvernement.

Sans qu'il s'agisse de remettre en cause la protection des intérêts publics justifiant les procédures et réglementations en vigueur, l'objectif de ce programme de simplification est d'en réduire les coûts de mise en oeuvre par les entreprises (et parfois les administrations). Cela passera, notamment, par l'amélioration des délais de traitement, la mise à disposition d'outils innovants et simples, la réduction de la redondance d'informations demandées aux entreprises, ou encore la réduction des incertitudes préjudiciables à l'investissement, à la croissance et à l'emploi.

Sept chantiers prioritaires ont d'ores et déjà été engagés par le Gouvernement : le « Dites-le nous une seule fois » pour permettre aux entreprises de ne plus avoir à fournir à plusieurs reprises les mêmes informations à différentes administrations ; la mise en place de la déclaration sociale nominative, processus déclaratif unique pour les informations sociales des entreprises ; la simplification et l'accélération des procédures applicables à l'immobilier d'entreprise ; la mise en ligne d'un portail unique des aides publiques aux entreprises ; la lutte contre la sur-transposition du droit communautaire en droit français ; un « test » pour évaluer l'impact des nouveaux textes du

gouvernement sur les PME et TPE ; enfin, la réduction des obstacles à l'export pour les PME et les TPE.

Réunissant les principales organisations représentatives des entreprises et les représentants des administrations les plus concernées, les Ministres ont insisté sur le dialogue étroit qui leur paraît nécessaire entre les entreprises et les administrations publiques pour veiller à l'avancement opérationnel de ce chantier. Des réunions seront organisées dans ce format à un rythme trimestriel pour veiller au bon avancement du premier ensemble de sept chantiers prioritaires déjà engagés par le Gouvernement. Elles auront notamment pour objet de mettre au point de manière concertée des indicateurs de suivi, et permettront d'éclairer les décisions du Gouvernement sur les compléments à apporter au programme glissant de simplification arrêté par le CIMAP, que ce soit sur la base de propositions des entreprises elles-mêmes ou de propositions nouvelles que tous les ministères ont été invités à faire. Enfin, elles veilleront à ce que la concertation s'organise selon les meilleures formes possibles sur chacun des chantiers engagés.

De façon à ce que le dialogue entre les administrations et les entreprises soit le plus efficace et approfondi possible, M. Thierry MANDON, député de l'Essonne, est chargé par le Gouvernement d'une mission d'aide à la définition de ce programme de simplification.

 

S'engager aux côtés des PME en faveur de l'innovation

Arnaud MONTEBOURG, Ministre du Redressement productif, et Fleur PELLERIN, Ministre déléguée en charge des Petites et Moyennes Entreprises, de l'Innovation et de l'Economie numérique, ont réuni le 18 décembre 2012 les dirigeants des principales entreprises à capitaux publics, dont notamment la SNCF, GDF Suez, AREVA, France Télécom ou La Poste, pour signer une charte dans laquelle ils s'engagent à stimuler l'innovation et à soutenir les PME innovantes de leur filière. Le Pacte national pour la croissance, la compétitivité et l'emploi, présenté le 6 novembre dernier par le Premier ministre, avait en effet prévu sa signature par les entreprises dont l'Etat est actionnaire afin de promouvoir l'achat innovant et exemplaire en faveur des PME. La charte s'appuie sur le référentiel des bonnes pratiques construit par l'association Pacte PME et sur les initiatives mises en place chez certaines entreprises. En donnant de la visibilité à ces démarches exemplaires, la charte a vocation à produire un effet d'entraînement. Les grands groupes français s'engagent ainsi à stimuler l'innovation dans un esprit gagnant- gagnant pour eux et pour l'ensemble de leurs fournisseurs. Ils s'engagent à aider les PME à concrétiser leurs projets d'innovation et à contribuer ainsi de manière décisive à leur développement futur. En contrepartie, ils bénéficient d'un accès à une technologie innovante et sécurisent également leur approvisionnement en renforçant des partenaires économiques. A l'heure où l'État se mobilise tous les jours pour soutenir le développement des PME et renforcer leur compétitivité, tout particulièrement via l'innovation, les entreprises ou entités à participations publiques s'engagent à ses côtés.

Indicateur Global d’Avancement du Changement IGAC Evaluation #03 – Déc 2012

 

 

L’IGAC, Indicateur Global d’Avancement du Changement, publié par l’Observatoire du Changement, mesure l’avancement de chacune des 195 promesses élémentaires constituant les 60 engagements du programme de François Hollande lors de l’élection présidentielle de 2012.

Tout commentaire, correctif ou précision sera bienvenu. Pour contribuer à l’Observatoire du Changement, c’est simple, c’est gratuit… et c’est bénévole !

Il suffit d’envoyer un mail non anonyme (précisant nom, ville, téléphone) à observactions@neuf.fr en indiquant éventuellement les engagements de FH sur lesquels vous souhaitez exercer une surveillance particulière.  

 

 

7 niveaux d’évaluation de chaque promesse élémentaire ont été définis. A un niveau donné correspond un score. Le niveau global d’avancement est calculé comme la somme des évaluations élémentaires pondérées selon ces scores.

 

niveau d’avancement

score

1. Pas d’information

0

2. Entrepris selon programme

2

3. Entrepris différemment

1

4. En retard ou bloqué

-1

5. Abandonné

-2

6. En place et conforme

3

7. Effets positifs avérés

5


igac03_dec2012.jpg

 

En cette fin décembre, nous en serions à … 28% d’avancement.

 

L’évaluation complète est accessible en cliquant ici

 

45 promesses élémentaires sont considérées comme « entreprises selon programme »

 

Sont considérées comme « En place et conformes » les 23 promesses élémentaires suivantes:

 

 

1.1

Je créerai une Banque publique d'investissement.

1.2

À travers ses fonds régionaux, je favoriserai le développement des PME, le soutien aux filières d'avenir et la conversion écologique et énergétique de l'industrie. 

2.4

Les PME, les TPE, les artisans et les commerçants auront, dans chaque région, un interlocuteur unique. 

2.5

Le crédit d'impôt recherche leur sera rendu plus simple et plus accessible.

11.1

Je proposerai à nos partenaires un pacte de responsabilité, de gouvernance et de croissance pour sortir de la crise et de la spirale d'austérité qui l'aggrave. 

15.1

Je ferai contribuer les plus fortunés des Français à l'effort national en créant une tranche supplémentaire de 45% pour les revenus supérieurs à 150 000 euros par part. 

16.2

J'augmenterai de 25% l'allocation de rentrée scolaire dès la prochaine rentrée.

17.1

Je reviendrai sur les allégements de l'impôt sur la fortune institués en 2011 par la droite, en relevant les taux d'imposition des plus gros patrimoines.

17.2

L'abattement sur les successions sera ramené à 100 000 euros par enfant et l'exonération en faveur des conjoints survivants sera conservée. 

18.1

Je ferai en sorte que tous ceux qui ont 60 ans et qui auront cotisé la totalité de leurs annuités retrouvent le droit de partir à la retraite à taux plein à cet âge-là : ce principe sera mis en ?uvre immédiatement. 

18.2

Une négociation globale s'engagera dès l'été 2012 avec les partenaires sociaux afin de définir, dans un cadre financier durablement équilibré, l'âge légal de départ à la retraite, la prise en compte de la pénibilité, le montant des pensions et l'évolution des recettes indispensables à la pérennité de notre système de retraite solidaire.

22.4

Je renforcerai la loi SRU, en multipliant par cinq les sanctions qui pèsent sur les communes refusant d'accueillir les ménages aux revenus modestes et moyens. 

22.5

Je porterai à 25% les exigences en matière de construction de logements sociaux

26.1

J'imposerai aux dirigeants des entreprises publiques un écart maximal de rémunérations de 1 à 20.

29.3

Je créerai un ministère de l'outre-mer rattaché au Premier ministre

34.1

Je créerai 150 000 emplois d'avenir pour faciliter l'insertion des jeunes dans l'emploi et l'action des associations, en priorité dans les quartiers populaires.

34.2

Je reviendrai sur la défiscalisation et les exonérations de cotisation sociale sur les heures supplémentaires, sauf pour les très petites entreprises. 

39.6

J'abrogerai la circulaire sur les étudiants étrangers. 

43.1

Je lancerai un vaste plan qui permettra à 1 million de logements par an de bénéficier d'une isolation thermique de qualité. Seront ainsi créés des dizaines de milliers d'emplois. Les économies de chauffage qui en découleront redonneront du pouvoir d'achat aux ménages.

44.6

Je reviendrai à un taux de TVA à 5,5% pour le livre et la billetterie, 

47.2

Je réduirai de 30% la rémunération du président de la République et des ministres. 

52.2

Je créerai des zones de sécurité prioritaires où seront concentrés davantage de moyens. 

55.3

Dès l'été 2012, je réunirai une grande conférence économique et sociale qui sera saisie des priorités du quinquennat. 

 

Sont considérées comme « Entreprises (mais) différemment du programme » les 8 promesses élémentaires suivantes :

 

< /tr>

2.3

Pour cela, je doublerai le plafond du livret développement durable, en le portant de 6 000 à 12 000 euros. 

7.1

Je séparerai les activités des banques qui sont utiles à l'investissement et à l'emploi, de leurs opérations spéculatives. 

9.2

Je rétablirai l'équilibre budgétaire en fin de mandat. 

14.1

La contribution de chacun sera rendue plus équitable par une grande réforme permettant la fusion à terme de l'impôt sur le revenu et de la CSG dans le cadre d'un prélèvement simplifié sur le revenu (PSR).

14.2

Une part de cet impôt sera affectée aux organismes de sécurité sociale. 

15.2

En outre, nul ne pourra plus tirer avantage des « niches fiscales » au-delà d'une somme de 10 000 euros de diminution d'impôt par an.

16.3

Je rendrai le quotient familial plus juste en baissant le plafond pour les ménages les plus aisés, ce qui concernera moins de 5% des foyers fiscaux.

59.1

J'engagerai un retrait immédiat de nos troupes d'Afghanistan : il n'y aura plus de troupes françaises dans ce pays à la fin de l'année 2012. 

 

 

Sont considérées comme « En retard ou bloquées » les 2 promesses élémentaires suivantes :

 

9.3

Pour atteindre cet objectif, je reviendrai sur les cadeaux fiscaux et les multiples « niches fiscales » accordés depuis dix ans aux ménages les plus aisés et aux plus grosses entreprises. Cette réforme de justice permettra de dégager 29 milliards d'euros de recettes supplémentaires.

50.1

J'accorderai le droit de vote aux élections locales aux étrangers résidant légalement en France depuis cinq ans. 

 

 

Sont considérées comme « Abandonnées » les 2 promesses élémentaires suivantes :

 

3.6

Je mettrai en place trois taux d'imposition différents sur les sociétés : 35% pour les grandes, 30% pour les petites et moyennes, 15% pour les très petites.

11.2

Ile Seguin – café-débat dimanche 9 décembre à 17h

ÎLE SEGUIN

Parce que l’objet de cette consultation ne nous satisfait ni sur la forme ni sur le fond,le Parti Socialiste de Boulogne-Billancourt appelle les électeurs à S’ABSTENIR DE VOTER

Attention : ne pas demander à être radié des listes, comme suggéré dans lecourrier envoyé par la mairie. Cela est mécaniquement destiné à augmenter lepourcentage de votants en faveur d’un projet.

Venez discuter avec nous de votre vision de l'Île Seguin lors de notre café-débat, dimanche 9 décembre à 17h au café Seguin, 39 cours de l'Ile Seguin (au pied de la tour Jean NOUVEL)

 

 

ÎLE SEGUIN : pourquoi s'abstenir de voter ?

Une fois de plus les électeurs boulonnais sont trompés !

Après avoir renié sa promesse de ramener la densité de l'île à 110 000m², le maire UMP Pierre-Christophe BAGUET souhaite recueillir un plébiscite des Boulonnais en vue des municipales de 2014.

Nous condamnons cette démarche purement électoraliste qui donne l’illusion d’un choix ? et la certitude que cela ne se fera pas !

NE PARTICIPONS PAS A CE SIMULACRE DE DEMOCRATIE !

POUR DES RAISONS DE FORME :

1. Nous voulions un véritable référendum local. Cette consultation ne permet que d'approuver l'un des

trois projets, et le maire ne sera pas tenu juridiquement de réaliser le projet choisi.

2. Nous voulions que l'ensemble des nouveaux habitants du quartier du Trapèze puissent s'exprimer.

Cette consultation est limitée aux boulonnais inscrits sur les listes électorales avant le 31/12/2011.

3. Nous voulions un calendrier plus respectueux du débat. Moins d'un mois entre la présentation du

projet aux conseillers municipaux le 21/11 et la clôture du vote le 16/12. Pourquoi tant de précipitation

quand les municipalités successives de droite nous ont déjà imposé 20 ans de tergiversations ?

? Ces raisons ont conduit vos élus socialistes à voter contre les modalités du scrutin lors du Conseil

municipal extraordinaire du 21 novembre 2012.

POUR DES RAISONS DE FOND :

1. Nous voulons plus de diversité parmi les projets proposés. Les trois projets ont été élaborés par lemême architecte : Jean NOUVEL !

2. Nous voulons des éléments probants quant à l'équilibre financier. Cela fait des années quel'ensemble de la droite boulonnaise nous entraîne dans un gouffre financier.

3. Nous voulons un consensus large sur la constructibilité. Elle est revue à la baisse par rapport au projet

NOUVEL initial (375 000 m²) mais on est encore loin des 175 000 m² demandés par les associationsboulonnaises.

4. Nous voulons des espaces dignes de ce nom pour le sport. La surface prévue pour le sport dans les

trois projets est de 4 500 m² seulement, soit la taille d'à peine plus qu'un demi-terrain de rugby.

5. Nous voulons que le patrimoine industriel de l'île soit davantage pris en compte. Nous regrettons qu'il n'ait pas été préservé.

 

 

boulogne-billancourt.parti-socialiste.fr/

psboulognebillancourt@gmail.com

facebook.com/psboulognebillancourt

twitter.com/psboulogneb


Dîner débat Mercredi 12 à Aubervilliers #DIDR

Des Idées et des Rêves 93

 L'association Des Idées et des Rêves 93 organise

un Dîner débat à Aubervilliers  

 » L’extrême-droite et les dérives populistes dans la France d’aujourd’hui »


avec Maryse Souchard,

maître de conférence

à l'université de Nantes/IUT de la Roche sur Yon

auteur de nombreux ouvrages sur les thèmes de la culture, du fascisme et de l'extrême droite.

le mercredi 12 décembre  de 19h30 à 22h

Le dîner débat a lieu au restaurant

Le Chien qui Fume, 193 Avenue Victor Hugo, 93300 Aubervilliers,

Inscription à l'adresse suivante :       desideesetdesreves93@gmail.com

Fièrement propulsé par WordPress