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Sévérité ou Vérité

L'on est beaucoup trop sévère avec l'extrême-gauche; ce n'est pas vrai qu'elle rate tout ce qu'elle fait. Par exemple, elle a réussi, par le bras armé d'une jeune fille de bonne famille de Neuilly et de sa complice à abattre très courageusement, en pleine rue, le fils d'un modeste employé des PTT, Georges BESSE, qui à force de travail et de talent, était parvenu à réussir le concours ?X-Mines? et au cours de sa brillante mais trop brève carrière, à redresser Pechiney et la Régie RENAULT, où il avait été nommé par le gouvernement socialiste.
Ce n'est pas le sort de ce pauvre assassiné, ni de sa famille, qui intéresse les esprits forts; c'est le confort psychologique, physique, financier, et pourquoi pas ?moral? tant qu'on y est, de ce ?quarteron? de drogués à l'idéologie, dont il convient de prévenir les caprices, de dissiper les ?embarras?, d'ausculter les états d'âme et d'aplanir toute douleur et tout stress qui seraient bien sûr intolérables.
Mr ROUILLAN refuse d'exprimer des regrets pour les crimes commis et pour lesquels les membres de la bande ont été condamnés à perpétuité. La LCR déclare ?qu'il a bien le droit à l'engagement politique?. Voilà qui me paraît très ?tendance? et du meilleur goût.

Continuons le combat!

Les chambres du pouvoir

Népotisme : la République des épouses, des cousins et des amis d’amis

Suivant l’exemple de leur Président, qui a casé son fils au Conseil Général des Hauts de Seine, les ministres font travailler leurs proches dans leurs cabinets? C’est ce que racontent Valentine Lopez et Géraldine Woessner dans leur livre « Les Chambres du pouvoir ».

la suite sur
http://www.marianne2.fr/Nepotisme-la-Republique-des-epouses,-des-cousins-et-des-amis-d-amis_a91317.html

Lettre adressée par Arnaud Montebourg, lundi 15 septembre, à Martine Aubry et Pierre Moscovici.

 

Le 15 septembre 2008,

 

Chère Martine, Cher Pierre,

 

Vous excuserez l’usage solennel de l’écrit, mais je crois que les

circonstances le justifient amplement : pendant que la droite formate le

pays selon ses valeurs de l’argent, de la religion, de l’individualisme,

nous présentons un Parti Socialiste en miettes, miné par les conflits

d’ambition, incapable de s’unir et laissant le champ libre au Modem et

au NPA.

 

Vous comprendrez pourquoi l’impératif de rassemblement n’a jamais été

plus important qu’aujourd’hui. Pour nous les Rénovateurs, la question du

congrès est d’abord celle de nos divisions en écuries multiples et en

innombrables conflits de chapelles.

 

Le premier problème à régler est celui du grand danger que représente

l’affrontement des présidentiables qui achèverait le Parti dans une

guerre épuisante de désignation. Notre Parti et toute la gauche, ne s’en

relèveraient pas. Il faut donc la conjurer en désarmant ceux qui

souhaitent faire du PS le lieu clos de l’affrontement permanent pour la

désignation du candidat.

 

Nous avons, à cet effet, cher Pierre et chère Martine, construit

ensemble, dès le 1er juin, une force d’interposition, en proposant aux

militants une offre alternative à la guerre des candidats à la

présidentielle. Nous avons imaginé cet été, et signé, je le rappelle,

tous les trois avec Marylise Lebranchu, un texte commun proposant un

leadership de travail et une mutation très importante du Parti à travers

la création d’une primaire ouverte sur la société qui règlerait plus

tard et dans un autre cadre le choix de notre candidat.

 

C’était là ton exigence, cher Pierre, et c’est là une idée à laquelle tu

t’es ralliée, chère Martine.

 

Voilà donc un point fondamental qui nous réunit et qui nous emmènera, si

nous le réalisons ensemble, vers un nouveau Parti Socialiste.

 

Le deuxième problème qui est à régler est celui de l’orientation

nouvelle de notre futur nouveau Parti. L’issue du congrès ne peut nous

faire déboucher ni vers une gauche centriste, apeurée d’elle-même,

soumise aux thèses de la droite, ni vers une radicalité sans débouché

crédible.

 

C’est donc une nouvelle synthèse qu’il faut fabriquer ensemble à partir

des problèmes nouveaux que la société place sous nos pas.

 

On peut construire cette nouvelle orientation avec tous ceux qui sont

prêts à faire évoluer le Parti et dépasser les anciens désaccords

(première et deuxième gauche, le oui et le non, notamment).

 

C’est le sens de nos rapprochements de l’été. Ainsi, les Rénovateurs et

moi-même avons décidé de fusionner notre courant « Rénover Maintenant »

avec « Socialisme & Démocratie ». Nous aurions pu ajouter une division

et une ambition supplémentaire ! Au contraire, nous avons choisi

d’accomplir courageusement un premier effort de rassemblement pour en

préparer d’autres encore plus larges. Nous avons, vous avez, cher Pierre

et chère Martine, signé ce texte de rassemblement plus large dès le

début du mois d’août. Ce protocole préfigurait des perspectives

importantes de mutation du Parti et l’équipe que vous pouviez former

ensemble était magnifiquement complémentaire.

 

Il ne reste donc à régler que la question de savoir qui sera Premier

secrétaire. Franchement, c’est une question dont personnellement, comme

des milliers de militants, nous nous sommes lassés. Réunissez-vous !

Déjeunez ou dînez ensemble ! Et faites une équipe comme dans les sports

collectifs ! Mettez-vous d’accord et nous vous entourerons et vous

aiderons à réussir.

 

La seule question qui nous importe est celle de savoir si nous pouvons

sauver le Parti Socialiste et s’il sera encore possible de militer en

son sein.

 

Des dizaines de milliers de militants vous regardent. Des millions de

Français attendent. Vous êtes responsables de la suite.

 

Je compte sur vous.

 

Affectueusement à tous deux.

 

Arnaud MONTEBOURG

Hit the road, Jack !

Un homme de culture, exemplaire directeur de la Scala de Milan
Créateur de la fête de la musique
Défenseur du prix du livre, de la création artistique et d’une éducation nationale de qualité.
Loyal supporter de Ségolène en 2007.

OK mais… 1 voix qui a tout changé, une voix qui s’est décrédibilisée, une voix et une voie à ne plus suivre

Alors désolé Jack, ça nous fend le coeur mais : Carton Rouge.

Des députés de l’étranger…

En 2006, dans un bouquin rose que François Hollande portait haut et fort, il y a écrit :
L’Assemblée Nationale sera rendue plus représentative par l’introduction d’une dose de proportionnelle et l’élection au suffrage universel direct de députés représentant les Français de l’étranger.
(Page 22 du Projet Reussir ensemble le changement.)
http://projet.parti-socialiste.fr/tag/le-texte-du-projet/partie-iii-refonder-la-republique

En 2008, un certain gouvernement a écrit cet article 9 dans les reformes de la constitution.

L’article 24 de la Constitution est ainsi rédigé :
« Art. 24. – Le Parlement vote la loi et contrôle l’action du Gouvernement. Il concourt à l’évaluation des politiques publiques.
« Il comprend l’Assemblée nationale et le Sénat.
« Les députés à l’Assemblée nationale, dont le nombre ne peut excéder cinq cent soixante-dix-sept, sont élus au suffrage direct.
« Le Sénat est élu au suffrage indirect. Il assure la représentation des collectivités territoriales de la République en tenant compte de leur population.
« Les Français établis hors de France sont représentés à l’Assemblée nationale et au Sénat. »

Le 8 juillet 2008, le groupe socialiste proposa ce simple ammendement : supprimer les mots : « à l’Assemblée nationale et »

L’Amendement N° 240 présenté par M. Montebourg, M. Lambert, M. Valls, M. Caresche, M. Urvoas, M. Vallini, M. Roman, M. Le Bouillonnec, M. Le Roux, M. Derosier, Mme Guigou, Mme Karamanli et les membres du groupe Socialiste, radical, citoyen et divers gauche

dit :

ARTICLE 9
Dans l’alinéa 6 de cet article, supprimer les mots : « à l’Assemblée nationale et ».

EXPOSÉ SOMMAIRE
Il s’agit ici de maintenir la Constitution dans son texte actuel, en refusant la création des députés représentant les Français établis à l’étranger, dont la représentativité sera plus que douteuse. Les auteurs du présent amendement rappellent que les députés représentent la Nation toute entière, et non des territoires. Une telle catégorie viole le principe d’unité nationale et d’unicité de la représentation nationale.

Y a t’il un mot à rajouter ?
http://ffe.parti-socialiste.fr

Amitiés,
Theo Chino,
Section de New York

NDLR : Montebourg est cohérent, cette notion de député de l’étranger ne figure pas dans le projet de constitution pour une 6° république

Volonté délibérée de déstabilisation (Message de Ségolène Royal)

Chères amies, chers amis,

Le 27 juin dernier, je n’ai pas été victime d’un cambriolage, j’ai été l’objet d’une volonté délibérée de déstabilisation. Et ce, à la veille d'un discours politique important, où je mettais en cause la mainmise du clan Sarkozy sur la France.

Ce ne sont pas des voleurs qui sont venus à mon domicile : on ne m’a même pas volé une boucle d'oreille ! La police elle-même a déclaré mercredi 11 juillet qu'il s'agissait d'une « mise à sac ».

Il fallait que les visiteurs sachent à quelle heure précise j’allais rentrer à mon domicile, à quelle heure précise il n’y avait personne dans l’appartement. C’est un travail de professionnel, maîtrisé, organisé.

Les « visiteurs » ont fouillé mon domicile. Ils ont trouvé la précédente plainte que j’avais déposée. Ils l’ont déchirée et ils l’ont laissée bien en évidence sur un meuble. C'est une mise en scène préméditée.

C’est la troisième fois que mon domicile est visité. La première c’était en août 2006, déjà à la veille d’un discours important, drôle de coïncidence.

Alors, je vous le dit, ce n’est pas d'une affaire personnelle dont je vous parle. C’est une affaire politique d’une extrême gravité. C'est un scandale dans une démocratie comme la France. Dans une démocratie on ne peut pas accepter cela, on ne peut pas le passer sous silence. De même, on ne peut pas accepter que d'autres responsables politiques – comme Olivier Besancenot – aient fait l'objet d'une surveillance. Le climat est lourd dans notre démocratie.

Volonté délibérée de déstabilisation mais volonté de qui ?

J'ai dit qu'il y avait une drôle de coïncidence, que l'on visite mon domicile à la veille d'un discours politique important. Deux choses me paraissent scandaleuses : d’abord la passivité des autorités de l'Etat, ensuite les insultes du Premier ministre et de l'UMP.

La passivité de l'Etat a été injustifiable. Vous connaissez un pays démocratique dans lequel le domicile d'un responsable de l'opposition est mis à sac trois fois ? Cela fait quinze jours que le pouvoir est parfaitement au courant de ce qui s’est passé. La police est venue et a fait un travail admirable ; le Procureur est resté jusqu’à 3 heures du matin. Le ministère de la Justice et le pouvoir sont donc parfaitement au courant. Et il y a eu des articles de presse dès le lendemain des faits.

Or que se passe-t-il ? Même pas une réaction officielle, même pas un coup de téléphone, rien. Tout se passe comme si on voulait nier ce qui s’est passé. Comme si c’était sans importance et sans gravité. Dans n’importe quelle démocratie, le pouvoir aurait condamné cette mise à sac avec force.

En moins de deux ans, il y a eu six violations de domiciles, concernant des membres de mon équipe ou moi-même. Jamais les coupables n'ont été arrêtés.

Et puis la deuxième chose qui me scandalise, c’est la réaction de la droite à mes propos. Il n'y a pas eu un seul responsable de droite pour reconnaître la gravité de cette affaire. Ils ont voulu me déstabiliser pour me faire taire.

En ce qui concerne les révélations sur les empreintes digitales d'une jeune femme retrouvées chez moi, lors de la « visite » de mon appartement en 2006, je vous renvoie au communiqué de Jean-Pierre Mignard, Président de Désirs d'avenir, que vous trouverez ci-dessous.

Sachez qu'on ne m'arrêtera pas. Je continuerai avec vous, et avec d'autres, à dénoncer la mainmise du clan Sarkozy sur tous les pouvoirs. On ne fera pas taire la gauche. Croyez-moi.

À très bientôt,



Vous êtes impatients, nous aussi !

Constat : TF1/M6 vont moins bien
Constat : l’audiovisuel public est de plus en plus critique vis à vis du pouvoir

Temps 1 : on annonce la suppression de la pub sur le service public, ainsi TF1/M6 vont récupérer la manne

Temps 2 : on asphyxie financièrement le service public et on le rend dépendant du pouvoir en place , financièrement et dans la nomination de ses dirigeants.

Temps 3 : on annonce par voie publicitaire que le pouvoir d’achat, ça va mieux.

et

Temps 4 : on multiplie par 3 ce budget pub propagande du gouvernement en 2009. Comme ce budget n’ira que vers les chaines privées, elles seront  d’autant mieux récompensées de leur servilité. Tout comme une certaine presse professionnelle qui ne tarit pas de louanges sur les produits de ses propres annonceurs. En prime, aucun risque ainsi d’y voir un éditorial critique ou un animateur subversif.


SARKO dehors : vous êtes impatients, nous aussi !

Pendant ce temps là, au PS (2)

.… vient le temps des contributions.

Où chaque militant s’exprime en espérant voir tout ou partie de ses suggestions reprises dans une contribution nationale.

C’est bien, tout le monde se fait plaisir, et somme toute le résultat de tout cela, si les media étaient capables d’en parler correctement, montrerait s’il en était besoin que les militants et dirigeants du PS ne sont pas en mal d’idées.

Grâce à des militants expatriés, il est possible de télécharger l’ensemble des contributions en un seul clic. Il suffit pour cela de cliquer sur le lien ci-dessous.

http://expat-prague.com/leblog/2008/07/05/toutes-les-contributions-du-ps-a-telecharger-en-un-clic/

On y trouvera de tout, du mollasson à l’iconoclaste en passant par le réformisme et le réchauffé. Je vous conseille par exemple celle de La Nouvelle Gauche / Urgence sociale (Pierre Larrouturou), ou bien encore Combattre et proposer (Ségolène Royal)

Globalement, il y a de quoi là-dedans promouvoir en Europe et créer en France les conditions d’un développement économique qui ne laisse personne sur le bord de la route. On y trouve des termes aussi bizarres que « création de valeur » par exemple !

Mais malheureusement, ce ne sont que des faux-nez destinés une fois de plus à mettre en avant tel ou telle personne, tel ou tel ego, à faire parler de soi au JT, à se positionner pour 2012, au mépris perpétuel du militant PS de base que je vais cesser d’être.

Exemple : Association de la carpe et du lapin au sein de la contribution Moscovici/Montebourg, l’un des deux étant candidat à la présidence du groupe parlementaire du PS cette semaine et ayant besoin de tous les soutiens. Quel mépris pour les militants qui l’ont soutenu depuis cinq ans.

Exemple : Tel thuriféraire de la social-democratie prenant la parole durant vingt minutes en réunion de section, hors ordre du jour, pour un pesant panégyrique de cette même contribution, avec la complicité passive d’un secrétaire de section issu du même courant. Mépris de ceux qui viennent encore en réunion de section.

Dans les sections justement, pour la plupart des cadres et élus locaux, il s’agit souvent avant tout de viser juste, de sentir d’où vient le vent, de deviner vers qui ira la majorité afin de ne pas risquer de mettre en péril son siège de secrétaire, son statut de potentat local, son rêve de délégué fédéral, son hypothétique investiture aux régionales de 2010, voire aux cantonales suivantes. Qui a parlé de convictions ? Celles et ceux qui en ont et qui s’y tiennent, sont au mieux taxés d’idéalisme, au pire de psychorigidité.

Comment, pourquoi continuer à militer au sein du PS dans de telles conditions ? Ras le bol. Laissons les apparatchiks apparetchiker entre eux.

Toutefois, ce ne saurait être une raison valable pour rester les bras ballants à regarder Sarko et son clan détruire tout ce qu’ils peuvent sous prétexte de réforme et de rupture.

Observons, agissons, retrouvons-nous, ici et ailleurs, maintenant et plus tard.

Comment Nicolas Sarkozy écrit l’histoire de France

Dictionnaire ciritique
Sous la direction de Laurence De Cock, Fanny Madeline, Nicolas Offenstadt & Sophie Wahnich

Guy Môquet, Jaurès, les colonies, et tant d’autres… Nicolas Sarkozy en campagne, puis au début de son mandat, n’a cessé d’utiliser et de brandir des références historiques.

Cet usage immodéré a mobilisé autant de mises en scène grandiloquentes que de discours de filiation destinés à dessiner les contours d’une France mythique du candidat puis du président.

Comment voir clair dans tous ces personnages et événements sans cesse mélangés et associés les uns aux autres en dehors de tout contexte ? Comment comprendre le brouillage de références qui empruntent autant aux grandes figures de la gauche qu’à celles de la droite ? Quels sont les enjeux et les effets politiques de telles constructions ?


Une vingtaine d’historiens ont disséqué les usages que fait de l’histoire Nicolas Sarkozy, pour permettre de saisir les mécaniques à l’oeuvre dans cette vaste entreprise de reconstruction d’un roman national. Sous la forme d’un dictionnaire, un véritable parcours critique dans l’histoire de France revue et corrigée par une droite qui entend refabriquer de l' »identité nationale »…

Editions Passé-Présent
Parution : 18/04/2008
ISBN : 978-2-7489-0093-4
208 pages
12 x 19 cm
15.00 euros – 5% en cliquant ici

Pendant ce temps là, au PS (1)

Mai 2008

On se regarde libéralement le nombril, on fait voter une réforme bidon des statuts histoire de faire rentrer quelques cotisations (Ndlr1 : pour voter, il faut être à jour de ta cotisation, camarade. Ndlr2 : c'est ça le truc pour faire rentrer les sous : un vote par an), sans ce soucier le moins du monde de revoir la façon dont fonctionnent les sections.

Le vrai courage, au lieu de procalmer une gentillette déclaration de principe, d’enfoncer des portes ouvertes ou de ne se préoccuper que des instances nationales ou fédérales, c’eut été par exemple de :

  • Se poser la question de la pertinence d’un échelon fédéral départemental à l’heure où l’on se questionne de plus en plus sur la pertinence des départements eux-mêmes, en y substituant par exemple un niveau intercommunal. Au passage, on aurait ainsi grandement réduit la capacité d’insrtumentalisation de ces fameuses fédérations qui pèsent tant parfois
  • Ne pas accepter le renouvellement de cotisation, et/ou rendre pour un temps inéligibles ou ininvestissables, des « camarades » qui se sont sciemment mis en dehors des campagnes électorales parce que la tête du candidat ou de la candidate ne leur revenait pas
  • Soumettre une fois par an un rapport moral et un rapport financier à la section locale, comme dans une association loi 1901, avec vote d’un quitus et destitution des instances locales si elles n’obtiennent pas le quitus