Le candidat Sarkozy a parlé d'urgence et de peur. La peur c'est lui, parce qu'il a aggravé la crise et le chômage. L'urgence, c'est de changer de président en 2012, pour agir vraiment. Les Français n'acceptent plus les effets d'annonce et les promesses non tenues. Le candidat Sarkozy n'a tenu aucune des 10 promesses du discours de Toulon de 2008, il s'est contenté de les répéter. Depuis 2007, le candidat Sarkozy a fait 75 discours sur la crise. Pour quel résultat : une crise toujours plus grave En dénonçant la retraite à 60 ans et les 35 heures, le candidat Sarkozy annonce qu'il fera payer les retraités et les salariés et que ceux qui s'enrichissent dans la crise restent intouchables. Pour agir vraiment avec 5 solutions efficaces, que propose François Hollande : – La réforme bancaire et celle de la Banque Centrale Européenne, – La relance de l'activité économique notamment celle des PME, – La taxe sur les transactions financières, – L'éradication des Paradis fiscaux, – Le renforcement du fonds de stabilité financière.
Archives pour la catégorie Vu de l’intérieur
Hommage à Danièle Mitterrand
Décédée mardi dernier à 87 ans, Danielle Mitterrand, veuve du seul président socialiste de la Vème république, laisse au « peuple de gauche » le souvenir précieux d’une vie toute de convictions assumées et de promesses tenues. Issue d’une famille progressiste très engagée, elle rencontre un jeune résistant, Morland, François Mitterrand de son vrai nom, qu’elle épouse en 1944. Présente dans toutes les étapes de l’épopée politique de son mari, notamment dans les 2 septennants, puis veuve à partir de 1996, elle adoptera toujours une position originale qui lui a permis de mener, jusqu’à son dernier souffle, ses combats tiers-mondistes puis altermondialistes aux côtés des défenseurs des droits de l’homme, particulièrement à travers l’oeuvre de sa vie, la fondation France-Libertés, créée en 1986. Les militants socialistes des Hauts de Seine saluent respectueusement cette militante absolue que fut Danielle Mitterrand. Pascal Buchet (1er secrétaire de la Fédération socialiste des Hauts de Seine) Philippe Babé (délégué Hauts de Seine des Amis de l’Institut François Mitterrand)
En réunion avec Montebourg
Un témoignage d’une blogueuse militante :
« Blogexperience » http://monblogessai.wordpress.com/
La démission du Dr Xavier Emmanuelli de ses fonctions de Président du Samu Social jette une lumière crue sur l'état de délabrement avancé et le recul de l'engagement de l'Etat po
La tâche du SAMU Social est pourtant immense. Le nombre d'appels au 115 se fait chaque année plus importante. Entre l'hiver 2008-2009 et 2009-2010, l'augmentation du nombre d'appels a été de 64%. 18 350 personnes ont été hébergées, pour un total de 1 550 500 nuitées, soit une augmentation de 6% pour les personnes isolées et de 16% pour l'hébergement d'urgence de familles par rapport à l'année 2008. Dans le même temps, le budget du SAMU social s'est réduit comme peau de chagrin avec en point d'orgue la décision prise par l'état de diminuer les crédits alloués de 24%. Les conséquences sont immédiates : l’an dernier, ces fonds ont couvert 9 364 nuités par jour sur l’année. Avec une telle diminution, seules 7 100 nuités par jour pourraient être financées alors qu'on estime à 13 000 le nombre de places d'hébergements d'urgence manquantes pour la seule Ile-de-France. C'est sur le terrain que les conséquences de cette politique de coupes budgétaires sont les plus dramatiques. Privées d'hébergement d'urgence, sans solutions de relogement, ce sont désormais des familles entières que l'on voit arriver dans les services d'accueil des urgences des hôpitaux, notamment des jeunes, des mères isolées ou des retraités aux pensions trop faibles? Alors que notre pays peut compter sur les forces vives de nombreux acteurs associatifs très organisés et très compétents, il y a là une double trahison d'un Etat qui se repose sur ce tissu associatif pour l'action et en profite pour se désengager financièrement. Nous sommes très loin de la promesse de campagne de Nicolas Sarkozy qui, le 18 décembre 2006, dans un discours à Charleville-Mézières avait annoncé « Je veux, si je suis élu président de la République, que d'ici à deux ans, plus personne ne soit obligé de dormir sur le trottoir et d'y mourir de froid. Parce que le droit à l'hébergement, je vais vous le dire, c'est une obligation humaine. » La mise en concurrence de l'hébergement d'urgence et des solutions de logements durables selon l'idée anglo-saxonne du « housing first » relève d'une idéologie dangereuse. Alors que le système d'accueil de l'urgence sociale est au bord de la rupture, une politique équilibrée doit s'appuyer sur ses deux jambes : l'hébergement d'urgence comme reprise de contact avec le système d'aide sociale avec pour perspective un logement durable le plus rapidement possible. Faire des économies sur la misère humaine est immoral et irresponsable. La situation n'est plus gérable aujourd'hui. Non seulement les plus démunis sont laissés à l'abandon, mais en plus, la politique du gouvernement met à sac le travail extraordinaire des bénévoles et professionnels de l'action sociale au service des exclus. C'est la fabrique du découragement. Comment une société peut-elle se regarder en face si elle n'est pas capable de tendre la main vers les plus démunis ? Il ne s'agit pas de promettre monts et merveilles, mais simplement de s'engager dans une politique pérenne en faveur des plus pauvres, construite sur un compromis national et menée tout au long de l'année. Les moyens doivent être assurés et l'Etat doit être le garant de la coopération des différents opérateurs privés et publics. La nation France est capable de cette solidarité élémentaire et incompressible. La balle est dans le camp du gouvernement pour que l'acte de Xavier Emmanuelli ne soit pas vain.
Le coin de Madame Dugenou
Un des candidats à la primaire du PS a déclaré vouloir « convaincre Mme Dugenou ».
Après la Corrèze et le « Haro, Tulle ! » quoi de plus normal ?
Mais que souhaite Madame Dugenou pour elle, pour ses proches, pour son pays ?
Permettons-lui de s’exprimer en toute indépendance et en votre nom à tous, en postant simplement des commentaires à la suite de ce billet.
L’Ecole en danger, c’est la République en danger
Analyse (rendue anonyme) de la situation de l’Education Nationale par un ou une candidat(e) aux présidentielles.
Seul indice, Il/elle n’est pas UMP. Alors, qui est-ce ?
1) L’Ecole en danger, c’est la République en danger
Pas d'égalité républicaine sans école dispensant à chaque enfant le bagage de savoirs, de savoir-faire et de savoir être nécessaire à chaque époque.
Quand la République manque à sa promesse scolaire, c'est tout l'édifice qui vacille à perte de confiance dans les institutions, dans les adultes (ceux d'avant n'assument pas leur responsabilité à l'égard de ceux d'après), dans la valeur de l'effort et du mérite, dans l'avenir (la déception ou la défiance scolaire nourrit le pessimisme des jeunes et des parents pour leurs enfants)
C'est vrai dans tous les pays mais en France beaucoup plus qu'ailleurs car l'école de la République est un fondement de la nation (de l'identité nationale bien comprise).
2) Le premier gisement de croissance d'un pays, c'est son école.
La dépense éducative n'est pas un surcoût à éradiquer par tous les moyens mais le premier des investissements productifs. Cette dépense doit être rentable mais sa rentabilité, c'est la formation effective des générations appelées à prendre le relais et à redresser la France.
Ce n'est pas l'éducation nationale qui coûte cher à la France, c'est l'échec scolaire et son aggravation par les politiques destructrices et à courte vue.
De nombreux travaux d'économistes le montrent : des politiques scolaires socialement élitistes inhibent la croissance et sacrifient des chances de développement. C'est en développant son enseignement primaire et secondaire que la France a, dans les 30 Glorieuses, rattrapé son retard de productivité sur les Etats-Unis.
3) La paupérisation programmée de l’école.
Optimiser la dépense éducative, ce n'est pas la sabrer aveuglément ! Former les enseignants, ce n'est pas un luxe (enseigner serait le seul métier qui ne s'apprendrait que sur le tas ?), c'est une nécessité.
On ne restaure pas l'autorité des maîtres en affichant l'obsession d'en réduire le nombre, en précarisant la profession à coups de vacataires mal payés. On ne lutte pas efficacement contre les incivilités et les violences scolaires en rendant de plus en plus précoce le tri sélectif d'une école de plus en plus élitiste, en diminuant les taux d'encadrement et la présence adulte dans les établissements.
4) Aucune fatalité : d'autres pays comparables font mieux que nous sur le double plan de la réussite scolaire globale (totalité d'une classe d'âge) et de l'atténuation de l'impact de l'origine sociale sur les résultats scolaires. Pas seulement la petite Finlande mais aussi le Canada ou la Corée du Sud.
L'erreur majeure de l'éducation en France (pointée par toutes les comparaisons internationales, la Cour des Comptes, l'Institut Montaigne, etc.) = dissocier la réussite d'une élite scolaire et celle du plus grand nombre.
Résultat?
Une élite certes performante mais plus étroite qu'ailleurs (et une moindre mobilité sociale) et 15% à 20% d'une classe d'âge en grande difficulté scolaire puis professionnelle. Un facteur d'appauvrissement collectif. Un gâchis qui affaiblit le pays dans la compétition mondiale. Un élitisme contre-productif et fauteur de violences (quand la règle est vécue comme faussée et l'échec comme assuré, il ne reste souvent que la transgression pour sauver la face).
5) Les jeunes ne sont pas dupes du message anti-éducatif du pouvoir actuel
Comme leurs parents et comme leurs enseignants, ils perçoivent la gravité de l'entreprise de destruction en cours.
Ils ne sont pas dupes des mensonges sur l'égalité des chances et la fausse lutte contre l'échec scolaire, qui accentuent à leurs yeux la disqualification de la parole politique.
Ils décodent avec lucidité le double langage et les actes de ceux qu'ils appellent des « double face ».
6) Il n'y a pas 2 jeunesses, l'une qui serait vouée à la réussite et l'autre qui serait condamnée à l'échec
Il n'y a qu'une jeunesse de France, quelle que soit l'origine ou la profession de ses parents, l'endroit où elle habite, la couleur de sa peau ou les ressources de sa famille, la diversité de ses parcours de formation.
A cette jeunesse, l'école de la République doit les moyens de réussir ses études et la France des raisons de le vouloir. C'est à ces conditions que la société peut être exigeante pour ses enfants et donner à chacun le goût de se dépasser.
Les armes du savoir ne sont pas seulement nécessaires pour trouver un emploi ou le créer (rôle de la qualification mais aussi de la confiance en soi et de la capacité d'initiative, domaines dans lesquels les jeunes Français ne caracolent pas en tête alors que, pourtant, ils débordent d'énergie, d'idées, de projets): elles sont aussi nécessaires pour comprendre le monde, s'y inscrire et agir sur lui = citoyenneté active.
L’Ecole en danger, c’est la République en danger
Analyse (rendue anonyme) de la situation de l’Education Nationale par un ou une candidat(e) aux présidentielles.
Seul indice, Il/elle n’est pas UMP. Alors, qui est-ce ?
1) L’Ecole en danger, c’est la République en danger
Pas d'égalité républicaine sans école dispensant à chaque enfant le bagage de savoirs, de savoir-faire et de savoir être nécessaire à chaque époque.
Quand la République manque à sa promesse scolaire, c'est tout l'édifice qui vacille à perte de confiance dans les institutions, dans les adultes (ceux d'avant n'assument pas leur responsabilité à l'égard de ceux d'après), dans la valeur de l'effort et du mérite, dans l'avenir (la déception ou la défiance scolaire nourrit le pessimisme des jeunes et des parents pour leurs enfants)
C'est vrai dans tous les pays mais en France beaucoup plus qu'ailleurs car l'école de la République est un fondement de la nation (de l'identité nationale bien comprise).
2) Le premier gisement de croissance d'un pays, c'est son école.
La dépense éducative n'est pas un surcoût à éradiquer par tous les moyens mais le premier des investissements productifs. Cette dépense doit être rentable mais sa rentabilité, c'est la formation effective des générations appelées à prendre le relais et à redresser la France.
Ce n'est pas l'éducation nationale qui coûte cher à la France, c'est l'échec scolaire et son aggravation par les politiques destructrices et à courte vue.
De nombreux travaux d'économistes le montrent : des politiques scolaires socialement élitistes inhibent la croissance et sacrifient des chances de développement. C'est en développant son enseignement primaire et secondaire que la France a, dans les 30 Glorieuses, rattrapé son retard de productivité sur les Etats-Unis.
3) La paupérisation programmée de l’école.
Optimiser la dépense éducative, ce n'est pas la sabrer aveuglément ! Former les enseignants, ce n'est pas un luxe (enseigner serait le seul métier qui ne s'apprendrait que sur le tas ?), c'est une nécessité.
On ne restaure pas l'autorité des maîtres en affichant l'obsession d'en réduire le nombre, en précarisant la profession à coups de vacataires mal payés. On ne lutte pas efficacement contre les incivilités et les violences scolaires en rendant de plus en plus précoce le tri sélectif d'une école de plus en plus élitiste, en diminuant les taux d'encadrement et la présence adulte dans les établissements.
4) Aucune fatalité : d'autres pays comparables font mieux que nous sur le double plan de la réussite scolaire globale (totalité d'une classe d'âge) et de l'atténuation de l'impact de l'origine sociale sur les résultats scolaires. Pas seulement la petite Finlande mais aussi le Canada ou la Corée du Sud.
L'erreur majeure de l'éducation en France (pointée par toutes les comparaisons internationales, la Cour des Comptes, l'Institut Montaigne, etc.) = dissocier la réussite d'une élite scolaire et celle du plus grand nombre.
Résultat?
Une élite certes performante mais plus étroite qu'ailleurs (et une moindre mobilité sociale) et 15% à 20% d'une classe d'âge en grande difficulté scolaire puis professionnelle. Un facteur d'appauvrissement collectif. Un gâchis qui affaiblit le pays dans la compétition mondiale. Un élitisme contre-productif et fauteur de violences (quand la règle est vécue comme faussée et l'échec comme assuré, il ne reste souvent que la transgression pour sauver la face).
5) Les jeunes ne sont pas dupes du message anti-éducatif du pouvoir actuel
Comme leurs parents et comme leurs enseignants, ils perçoivent la gravité de l'entreprise de destruction en cours.
Ils ne sont pas dupes des mensonges sur l'égalité des chances et la fausse lutte contre l'échec scolaire, qui accentuent à leurs yeux la disqualification de la parole politique.
Ils décodent avec lucidité le double langage et les actes de ceux qu'ils appellent des « double face ».
6) Il n'y a pas 2 jeunesses, l'une qui serait vouée à la réussite et l'autre qui serait condamnée à l'échec
Il n'y a qu'une jeunesse de France, quelle que soit l'origine ou la profession de ses parents, l'endroit où elle habite, la couleur de sa peau ou les ressources de sa famille, la diversité de ses parcours de formation.
A cette jeunesse, l'école de la République doit les moyens de réussir ses études et la France des raisons de le vouloir. C'est à ces conditions que la société peut être exigeante pour ses enfants et donner à chacun le goût de se dépasser.
Les armes du savoir ne sont pas seulement nécessaires pour trouver un emploi ou le créer (rôle de la qualification mais aussi de la confiance en soi et de la capacité d'initiative, domaines dans lesquels les jeunes Français ne caracolent pas en tête alors que, pourtant, ils débordent d'énergie, d'idées, de projets): elles sont aussi nécessaires pour comprendre le monde, s'y inscrire et agir sur lui = citoyenneté active.
DSK – appel aux sympathisants et aux militants
Cette affaire DSK nous sidère. Plus que jamais, et indépendamment d’éventuels engagements personnels lors des primaires, nous nous devons en tant que sympathisants ou militants socialistes de :
1/ Penser à l’homme, affirmer et respecter sa présomption d’innocence. Il traverse une épreuve terrible qui sans doute va durer des mois.
2/ Nous abstenir de tout commentaire ou propos désobligeant, question insidieuse ou attaque personnelle envers les candidat(e)s PS et envers leurs soutiens.
3/ Nous engager à faire campagne en 2012 pour celle ou celui qui la gagnera.
14 avril 2011 – Colloque "Cantonales au dessus d’un volcan"
2 heures d’échanges passionnants et éclairants.
En substance, les observateurs présents à la tribune jeudi dernier (3 élus puis Eric Dupin Laurent Bouvet, Stéphane Rozes, Olivier Ferrand) ont attiré notre attention sur les phénomènes suivants
1/ l'état délétère du PS local et le manque de leadership voire de soutien du PS (ce ne fut pas le cas dans le 92 sur ce dernier point)
2/ il n'y a pas de situation perdue d'avance (ex Marennes en Charente Maritime qui était à Droite depuis 1937)
3/ le risque d'éparpillement des voix entre Mélenchon, le candidat PS quel qu'il ou elle soit, Hulot, Bayrou/Borloo, et la perspective d'un 21 avril bis, à l'endroit.
4/ la fracture de la droite et la stratégie de Sarko poussé par Patrick Buisson, de mettre en premier les questions identitaires et culturelles. Il revient à la Gauche de s'emparer de ces sujets, et là on ne peut que noter le décalage avec le projet du PS qui porte principalement sur des questions économiques et sociales, toutes pertinentes, mais insuffisantes. Le modèle laïque républicaine est le meilleur qui soit pour intégrer les diversités, d'ailleurs c'est en France que l'on célèbre le plus de mariage mixtes.
Le projet doit donc mettre en avant ce que l'on a tous en commun pour faire accepter la diversité et les règles qui vont avec. A méditer?
Conclusion d’Arnaud qui revient sur les grands axes de son projet de transformation : Mise au pas du du système bancaire, protectionnisme européen, mutation écologique, financement de l’Etat.
La destruction des ciments sociaux affecte les classes populaires mais aussi agriculteurs, cadres, agents des services publics. Tous ont les mêmes problèmes, au delà des questions identitaires, il faudra « réconcilier les Français autour d’un projet qui permette à chacun de se situer ».
« La force de notre projet, et son audace, sont les ingrédients nécessaires à la victoire en 2012 ».
Dans un an, ne revivons pas le 21 avril 2002 !
Mobilisons-nous pour désigner via les primaires un(e) candidat(e) imbattable !
Les primaires et les données personnelles
Venir dans un bureau de vote, prendre contact, signer une adhésion aux valeurs de la gauche… Quelques précisions sur les données personnelles et les primaires.
Comment le PS va-t-il constituer les listes électorales ?
Très simplement et de façon très transparente. Les listes électorales sont publiques, et accessibles à tous les citoyens qui en font la demande dans leur commune ainsi qu’aux partis politiques, qui ont le droit d’en faire usage. Ce droit est prévu par le code électoral dans son article L-28.
Dois-je obligatoirement donner mes coordonnées ?
Bien sûr que non. La récuperation de coordonnées se fera sur une base volontaire uniquement. Nous proposerons aux votants qui le souhaitent de nous laisser leur mail et/ou leur numéro de téléphone pour être informé (résultats, initiatives de campagne…) et nous serons ravis de vous compter tous ceux qui le veulent parmi nos volontaires. Si vous ne le souhaitez pas, rien ne vous y oblige, évidemment.
Signer une charte d’adhésion aux valeurs de la gauche, ça veut dire que je suis obligé de voter pour le PS à la présidentielle ensuite?
Non, dans le secret de l’isoloir, le vote est bien sûr libre. Si vous avez voté aux primaires, cela ne vous contraint en aucune manière.
Est ce que les primaires constituent un fichage illicite ?
Non, toute l’organisation des primaires, basée sur un acte volontaire de participation et sur un recueil volontaire de coordonnées se fera dans le respect strict des textes relatifs à l’informatique et aux libertés. Si vous participez aux primaires, votre nom ne sera en aucun cas publié.
On a besoin de vous pour les primaires!
Que vous souhaitiez simplement être informé, participer à l’organisation, nous aider à faire de cette première pour nous et pour vous un succès, abonnez vous à la newsletter:
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