Le pilotage, c’est maintenant

Nous avons soutenu Arnaud Montebourg lors des primaires.

Nous avons soutenu, pour ma part très clairement, son choix en faveur de François Hollande.

Nous avons ensuite soutenu François Hollande puis le programme socialiste aux législatives.

 

Nous sommes donc solidairement responsables de la mise en ?uvre de ce programme et de ses bienfaits potentiels.

 

Il s’agit maintenant de réussir ces changements, pour redresser le pays et dans l’intérêt de tous, pour aussi ne rien regretter à terme.

 

Nous ne voulons pas dans cinq ans nous dire « nous aurions pu?, nous d’avons pas pu parce que? », comme ce fut le cas par exemple sous Mitterrand avec le vote des étrangers, ou sous Jospin avec les retraites.

 

Il s’agit donc de nous assurer que non seulement les « 60 engagements » sont effectivement mis en ?uvre, mais qu’ils produisent durablement les effets escomptés.

 

Et, presque accessoirement tant nous avons été abreuvés de communication et d’effets d’annonce durant le dernier quinquennat, que cela se sait pendant et après coup. 

Quelles sont les priorités ? Qui se charge de quoi ? quels sont les indicateurs de mesure de l’avancement puis des effets ? En entreprise cela relève du « pilotage stratégique » du changement, différent de la « planification stratégique » usuelle en cela qu’on y est autant évaluatif que prospectif.

 

A ma connaissance, ce serait une première en matière gouvernementale, très dans l'esprit de transparence et d’ « open data » de la VI° République.

 

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.